jeudi 13 août 2015

MES ANNÉES 80 : UN DÉBUT SUPER DISCO ET AU FINAL « THE BIG FIASCO »

« J’entends siffler le train du succès éditorial avec mon futur best-seller dont vous aurez bientôt la primeur. » [cf. mon post du 13 juillet 2015.]
Thus spoke the great writer John-Peter Reason that did not take shit for 
(Ainsi parlait le grand écrivain Jean-Pierre Raison qui ne se prenait pas pour une m…), 
au sujet de son ouvrage à paraître. Était-ce une info, était-ce une intox, that is the question ?

Le voilà mis aujourd’hui devant le fait accompli, et prêt à relever le défi. Quel homme ! Il a joué gros, il ne lui reste plus qu’à rafler la mise et gagner ainsi son pari. Diable ! D’aucuns diraient qu’il est mal barré, mais il n’est pas du genre à sauter d’un voilier en marche. Sinon, bonjour la galère ! Comment reculer quand on s’est tant avancé ? Comment s’en sortir par la fenêtre quand on a ouvert la porte aux attentes les plus folles ? Car il est comme ça, le lecteur, il croit tout ce qu’on lui dit du moment que c’est gratuit. « Garçon ! L’addition s’il vous plaît. » Jamais, il ne dira cela. Nous sommes sur un blog, ici, celui qui paye cash n’est pas celui qui s’en met plein les mirettes, mais ce pauvre imbécile qui se dépense comme un forcené pour les beaux yeux d’une poignée d’abonnés — ne levez surtout pas le doigt pour dire « Moi ! », chacun sait bien que vous tenez presque sur une main, et encore en trichant, parce que je me suis mis dedans, avec l’une de mes nièces qui a pitié de son ronchon de tonton vieillissant. Et le nombre de consultations, alors, c’est du vent, du flan, du rien, du nenni ? Ah les consultations ! Même celles des médecins traitants ne sont plus ce qu’elles étaient avant la faillite de la Sécu ! Dieu sait pourtant si la population branle dans le manche ! Ça meurt à tour de bras, surtout chez ceux qui traitent leur santé par-dessus la jambe, ou qui se soignent comme des pieds avec des médicaments périmés, ou qui n’arrivent plus à se faire rembourser et qui font ceinture. Donc, les consultations, mieux vaut s’en méfier, ce n’est qu’un pis-aller pour ceux qui, de toute façon, n’en reviendront jamais. Les cimetières sont bourrés d’individus indispensables, disent les chômeurs qui sont les premiers à y entrer, souvent après avoir trop picolé. Tiens, tiens, les chômeurs ! Si on s’attardait sur leur sort avant qu’ils aient tous disparu… à la saint glinglin. Ce serait-y pas une bonne idée, des fois ? 
Et nous y voilà, à ce futur best-seller — annoncé dans mon post du 13 juillet 2015, la veille de ce défilé présidé par notre bien mal-aimé François Hollande — qui attendait sagement son heure, et dont nous allons dire le plus grand bien, en toute objectivité. Si le cœur vous en dit, le voici.
Auparavant, une précision sur l’auteur. Notre chômeur s’appelle Raison, comme Notre Seigneur se faisait appeler Jésus-Christ, mais n’y voyez pas une parenté : l’un survit médiocrement comme un nomade sédentarisé, l’autre prêchait brillamment la bonne parole dans le désert de Judée. Le second cité, une fois devenu Dieu, a inspiré les évangélistes, le premier nommé a relaté son aventure. Il ne l’a pas fait à la manière de Matthieu, Marc, Luc ou Jean, mais à la façon d’un franc-tireur, et c’est ce qui pourrait le sauver de la multitude des écrivains d’aujourd’hui. Mais, va savoir ! Les temps sont si durs que la littérature périclite au Ritz comme dans les bas-fonds. Il n’y a d’avenir nulle part, pas plus dans les divins écrits d’un Raison que dans les sacro-saints romans-feuilletons des apôtres.

Patience, encore. Si j’ai pris la peine et le temps (beaucoup de temps !) d’écrire ce long préambule, c’est que je ne me moque pas de vous. Je ne suis pas un « vulgaire » publicitaire ou un politicien de bas étage, forcément bas de plafond (plus crétin qu’un conscrit en goguette). Je ne suis pas non plus un de ces bâtards de la com’ (commu-nique-les-gogos) qui ont constamment l’arrière-train entre deux rails, jusqu’à s’abîmer la glissière, et qui, de surcroît, vous feraient prendre des merguez pour des chipolatas.
Bref, il était une fois un jeune homme plein de promesses qui, à force de s’illusionner, s’est retrouvé le bec dans l’eau et la raie entre les fesses. Ben quoi ! Qu’est-ce que j’ai dit ? Vous m’avez mal compris, je donnais dans la métaphore pour vous sortir de votre léthargie. C’est malin de s’endormir en plein article quand j’en suis (enfin) rendu à vous déballer le paquet-cadeau.
Un paquet-cadeau en forme de livre avec, écrit dessus, QUAND J'ÉTAIS CHÔMEUR, et plein de bonnes choses à l’intérieur :

1) La couverture de l’ouvrage :

2) La quatrième de couverture de l’ouvrage :

3) Quelques bonnes informations sur le cadeau :
Format : 12 x 19 cm
Pagination : 162 pages
ISBN : 978-2-312-03477-5
Publié en juillet 2015 par Les éditions du Net
Prix de vente public de la version papier : 12 € TTC
Prix de vente public de la version PDF et Epub : 8 € TTC

4) Et des liens, pas pour envelopper le cadeau, POUR LE COMMANDER :
Auprès de l’éditeur : www.leseditionsdunet.com
Sur les sites Internet : Amazon.frChapitre.comFnac.com, etc.
Auprès de votre libraire habituel…

5) Pour les plus radins, les plus fainéants… ou les plus affamés, une adresse qui vous donnera un aperçu du contenu du livre :
http://www.leseditionsdunet.com/temoignages/3532-quand-j-etais-chomeur-raison-jean-pierre-9782312034775.html
N’oubliez pas d’aller en bas de la page, pour cliquer sur le rectangle APERÇU relié à une liseuse, qui vous permettra de lire gratuitement (encore !) les treize premières pages du livre.

6) Et si ma page auteur sur Amazon.fr vous tente, alors rendez-vous illico presto ici :
http://www.amazon.fr/Quand-jétais-chômeur-Jean-Pierre-Raison/dp/2312034778/ref=sr_1_2?ie=UTF8&qid=1439384638&sr=8-2&keywords=quand+j%27étais+chômeur

— Qu’est-ce qu’on dit après ça ? Merci qui ? 
 Merci Jean-Pierre.
Et Jean-Pierre de répondre :
— Mais c’est moi, bienveillants lecteurs, qui vous remercie d’avoir lu cet article jusqu’à la fin, et de vous apprêter à commettre une bonne action en achetant (dans le format que vous souhaitez) le livre de cet infortuné Raison.

Voilà, faites comme bon vous semble, allez sur le site de votre choix, mais si vous voulez entendre « siffler le train du succès éditorial avec mon futur best-seller dont vous avez aujourd’hui la primeur », c’est le moment ou jamais d’actionner la manette…


À BIENTÔT LES AMIS !
Votre Jean-Pierre Raison