vendredi 23 octobre 2015

« LA FRANCE N’EST PAS LA GAULE [OCCUPÉE], MAIS DE GAULLE, C’ÉTAIT LA FRANCE [LIBRE] » (Edmond de La Vergnaie.)

LA FRANCE EST UN PAYS COLORÉ 
AVEC UNE MASSE BLANCHE QUI DÉTEINT AU SOLEIL, 
RÉTRÉCIT AU LAVAGE ET TRÉPASSE À L’ESSORAGE


La France, c’est fini, et ce n’est pas d’aujourd’hui. 
Pour moi, elle est morte depuis longtemps. Je vous renvoie à mon autofiction, L’écriture est une drogue dure, où figure son avis d’obsèques.


C’est moi qui l’ai rendu public dès novembre 2008, mais nous sommes plusieurs à l’avoir rédigé, et encore n’est-ce là qu’une demi-vérité. Un jour, je vous dirai tout sur les Français de souche qui l’ont concocté.
 « Français de souche », certains n’aiment pas, moi j’adore. Nos aïeux se sont battus et sont morts pour mériter cette appellation, notamment les miens, les Vendéens, dont mon arrière-arrière-arrière-grand-père maternel, Victor Rondeau (14/11/1774 — 18/05/1832).
« Homme de courage et de cœur dans la tourmente des guerres de Vendée », mon ancêtre Victor Rondeau fut blessé en août 1793 lors de la bataille de Luçon (Richelieu, le grand ministre de Louis XIII, fut évêque de Luçon de 1606 à 1623. Il se permit de qualifier son diocèse d’« évêché le plus crotté de France » ; les « vilains paysans » vous en remercient, cher Monsieur Jean Armand du Plessis).
Victor habitait dans une ferme, à La Guillaumière, un village situé à un vol de corbeaux du mont des Alouettes, butte cultissime de la ville des Herbiers dont je suis originaire.
Des Vendéens qui comptent parmi leurs personnages illustres, Georges Clemenceau et Jean de Lattre de Tassigny, nés tous les deux à Mouilleron-en-Pareds, charmante cité du bocage vendéen. L’image ci-dessous se trouve dans le musée de la commune, qui rend hommage à ces Français d’exception, s’il en est (et il en naît encore, des héros de cette veine-là, mais de modestes inconnus).


Je vous vois venir, mes chers amis, tout ça, penserez-vous, finirait par sentir « la Morano » [Elle sent quoi, au juste, Nadine Morano ? La bête immonde ou l’ange déchu/dégénéré ?] Et si, à la place de « personnages illustres », j’avais écrit « illustres congénères », que n’auriez-vous pas dit ? Car la définition de « congénère », donnée par le Centre national de ressources textuelles et lexicales (www.cnrtl.fr), est celle-ci :
− P. ext., usuel, gén. au plur., souvent péj. Personnes de même genre, de même race, de même catégorie sociale. Son congénère le traître juif Alfred Dreyfus (Maurras, Kiel et Tanger,1914, p. XXXI).

Parbleu ! Que vient faire ce mot race dans cette définition ! Sors d’ici, Satan, et que Dieu nous bénisse !
De Lattre était farouchement catholique (mais il haïra les évêques pro-Viets en Indochine) et Clemenceau férocement laïque (il fut un gros « bouffeur de curés ! »).
Pour la petite histoire, sachez que le jeune de Lattre, sûr de son avenir, aurait déclaré à l’âge de 7 ans : « Je serai pape ou général. » 7 ans, n’est-ce pas l’âge de raison ? Et moi, comment je m’appelle ? Raison. Un Raison qui ne rêvait de rien, à 7 ans, même pas à devenir grand, mais qui, à 15 ans, une fois son BEPC en poche, a voulu devenir coiffeur. Si, si, j’en tremble encore ! Vous m’imaginez en Luchini ? Luchini, même pas Français de souche, d’origine italienne, comme Morano ! Pas pire que Monsieur Valls, d’origine espagnole, disons catalane ! Ben alors ! Pourquoi ils s’étripent entre descendants d’immigrés ? Nous les Français de souche d’origine vendéenne, on ne se combat pas. Vous dites que mon ennemi juré se nomme Philippe de Villiers ? Parfaitement, mais vous semblez l’oublier, ce filou de Villiers n’est pas d’origine vendéenne. D’ailleurs, pour faire l’intéressant, il s’est lui-même baptisé « beur vendéen ». Et qu’est-ce qu’il a fait mon petit beur d’énarque ? Il s’est approprié l’histoire de la Vendée et l’a détournée à son profit pour asseoir sa popularité, exercer son influence et prendre le pouvoir (par les urnes, donc sans troupes, mais avec le soutien d’une armée de bénévoles à sa botte) jusqu’à se faire élire président du Conseil général de la Vendée. 
La suite, tout le monde l’a oubliée et c’est tant mieux pour le pays, et aujourd’hui Villiers ronge son frein en s’inventant un destin à la Giscard : renaître de ses cendres et engendrer une ère nouvelle. Avec qui ? Dieu seul le sait, et s’en fout complètement, il a fait l’essentiel en créant Adam, puis Ève avec une côte de celui-ci. Eh oui ! À l’époque, la parthénogenèse divine émanait du thorax. Bien plus tard, Marie mit au monde le « Fils de Dieu » comme par miracle. Ainsi naquit Jésus-Christ. 
Mais revenons à Villiers et à sa prise du département par-devant comme par-derrière, mine de rien et sans en avoir l’air. Imaginez maintenant qu’un autre petit beur du « 9-3 » se mette à imiter l’aristo et finisse par parvenir à la tête du Conseil général de la Seine-Saint-Denis, et que tous ses potes en fassent autant dans tous les départements métropolitains ? Pour un peu que les loustics soient de confession musulmane, vous voyez le tableau ! On l’aurait dans le baba, nous les cathos, et on n’aime pas ça, pas plus que l’Annus horribilis évoquée par la reine Élisabeth II lors de son accession au trône d’Angleterre en 1992. D’une manière générale, après cet horrible coup d’État, nous les Franchouillards, on l’aurait dans l’os, on ne se sentirait plus chez nous, on aurait la gueule de bois et des têtes d’enfoirés immigrés dans leur propre pays, qui s’appellerait alors La Musulmanie (l’Hallalie occidentale). Exit notre beau pays ! Ne l’appelez plus jamais France, laissez tomber, elle appartient à un passé qu’il faut s’empresser d’oublier. Dépêchez-vous d’en rire, car ce monde dans lequel nous survivons est condamné à périr. C’est quoi la Terre à l’échelle de l’Univers ? Un billiardième (un billiard = 1 000 000 000 000 000, soit 1 000 billions) d’un grain de sable, soit 1/1 000 billions, un billion étant égale à 1 000 milliards. J’imagine que vous n’avez rien pigé, alors croyez-moi, une infinitésimalité comme la Terre peut crever, exploser, et la race humaine (j’ai bon là, c’est  correct, non ?) avec elle, personne ne s’en rendra compte, même pas son Suprême Créateur (d’avant le bing bang).
Arrêtons là le massacre, la Musulmanie ce n’est pas pour demain. Quand même, quand même, pour les plus enragés de la patrie bleu-blanc-rouge, il serait sage de songer à émigrer dans un pays d’accueil… s’il en reste. Pour nous, cela risque d’être le « grand refoulement permanent ». Moralité : pour rester maître chez soi, mieux vaut ne pas aller chercher les étrangers chez eux, simple bon sens populaire. Et, vous le savez, le peuple a toujours raison, même si le bien nommé Raison a sans doute tort de vous faire peur avec ses prophéties apocalyptiques.
Ne me serais-je pas un peu écarté de mon sujet, l’ex-roi de la Vendée dénommé Philippe Ô de Villiers ? Un PDV que je me plais à assaisonner, et que je poursuivrai de ma vindicte jusque dans les cabinets, comme disait Vladimir Vladimirovitch Poutine en parlant des Tchétchènes. Révisez donc vos leçons, camarades, histoire de cultiver votre esprit de combat :
1) Relisez mon article sur Villiers dans mon blog :
2) Lisez mon roman Au-delà des apparences (que je compte bientôt mettre en vente, en exclusivité, sur Amazon, avec une version PDF) :

Ci-dessous le coup de cœur de Jérôme Garcin sur Au-delà des apparences,
paru dans « Le Nouvel Observateur » du 23 mai 2002 

puis l’article du critique littéraire André Rollin, 
qui aurait dû paraître dans « Le Canard enchaîné »

Pourquoi cet article du critique littéraire André Rollin sur mon roman Au-delà des apparences n’est-il pas paru ? Parce que le rédacteur en chef d’un certain « journal satirique paraissant le mercredi » l’a sucré, et ce faisant il s’est lourdement planté. Vu ma virulence envers Villiers, il a cru à un livre de commande, donc à un coup monté par de méchants adversaires du Vicomte. 
En vérité, j’ai agi seul, totalement seul (et totalement libre) contre presque tous. Car, à l’époque, en Vendée (et aussi ailleurs), on voyait Villiers comme un demi-dieu, voire un saint laïc, alors que pour moi il était, et est resté, un flibustier, l’exemple même de l’imposture personnifiée.

Pour Villiers, ça devrait aller, non ? Nous avons tellement d’autres sujets à traiter, qu’on ne peut pas se focaliser sur un « nanaristo has been ». À l’heure où les blancs sont à l’honneur grâce à Madame Morano Nadine, ce serait pourtant le moment d’exposer nos vues sur ces mots qui turlupinent tant les coincés du vocabulaire : race, blanc, identité, souche. J’y reviendrai, forcément, c’est trop tentant d’asticoter les trouducs de la rectologie dominante, ces nains de jardin qui voient de la pourriture verbale partout, qui voudraient nous dicter notre conduite (à gauche), et qui nous font proprement chier. 
Juste une ultime incise en liaison avec l’usurpateur Villiers et notre belle Vendée. Rappelez-vous qu’en 1793, en pleine Révolution, sous la Convention nationale et son régime de la Terreur, des Vendéens se sont révoltés pour défendre ces droits fondamentaux qu’on voulait leur dénier, à commencer par la liberté de croire, de penser, et de vivre en paix. Voir ci-dessous le territoire, dit de la Vendée militaire, concerné par ce soulèvement :

Cette zone — d’environ 10 000 kilomètres carrés — recouvre les deux tiers du département 
de la Vendée, un tiers de la Loire-Inférieure (actuelle Loire-Atlantique), 
un tiers du Maine-et-Loire et un quart des Deux-Sèvres.
(Ma ville natale, Les Herbiers, se trouve sous le É)

Et c’est sur ce territoire (hormis le dramatique épisode de la Virée de Galerne) qu’eurent lieu les guerres de Vendée (la guerre de Vendée se déroula sur plusieurs périodes). Ici s’opposèrent deux armées : les armées vendéennes et les armées républicaines. Ici s’affrontèrent deux types de combattants : les paysans vendéens (insurgés), dénommés les Blancs, et les soldats nationaux, dénommés les Bleus. Ici, le sang rouge coula à flots et les morts se comptèrent par dizaines de milliers. On parle de 300 000 tués. Grâce au ciel, comme je le signale plus haut, Victor Rondeau, mon arrière-arrière-arrière-grand-père maternel, qui avait alors 19 ans, survécut à la bataille de Luçon. Il en revint blessé et en sortit borgne et estropié. Ce qui ne l’empêcha pas de fonder une famille, celle à laquelle je suis fière d’appartenir. Hélas ! Sans descendant, je ne laisserai pas grand-chose derrière moi… si ce n’est mon « œuvrette » littéraire, blog compris.
Détail de cette histoire, comme dirait l’autre, j’ai la blanchitude dans le sang. Je suis donc un vrai Vendéen de souche, bien blanc et de pure race. Ça vous plaît, j’espère ? Sinon, je vous em… je vous zem quand même.

P.-S. : L’actualité étant ce qu’elle est, toujours à la remorque des événements, et pendant qu’il en est encore temps et que nous sommes toujours vivants, nous reparlerons des guerres d’aujourd’hui, y compris la très grande en gestation, une prochaine fois. Ainsi donnera-t-on une suite à la curieuse question posée dans mon article du 5 janvier 2015 intitulé : « UNE BONNE GUERRE MONDIALE » ou « UN BON DICTATEUR FRANÇAIS » ?


À bientôt, et bonne campagne électorale. Vivement le 13 décembre au soir, qu’on rigole… avec les larmes de tous ceux qui ne pensent qu’à nous éliminer. Nous qui ? Nous les blancs-becs qui n’en ont pas fini de l’ouvrir…

Bonne fête de la Toussaint, d’abord
et n’oubliez pas la potée de chrysanthèmes 
sur la tombe de ceux à qui vous devez la vie. Amen. 
Père Jean-Pierre Raison
curé de la paroisse Sainte-Jacinthe-des-Mimosas