Qu’est-ce qui va très mal finir ?
Le recueil de récits et nouvelles sur lequel je travaille. À moins que j’en décide autrement, et que je mette un mariage à la place d’un enterrement. Rien n’est fait, rien n’est joué. J’en suis encore au stade de la compilation. J’ai réuni une vingtaine de textes qui font en moyenne 15 000 signes. Les signes, ce ne sont pas seulement les caractères, il y a aussi les espaces.
Là, par exemple, le paragraphe qui précède compte 378 signes, mais seulement 313 caractères. 378 - 313 = 65 espaces (sauf erreur de comptage de ma part).
Post-scriptum. J’y pense seulement maintenant : en lisant mon titre vous avez dû penser que j’allais aborder la conjoncture sociale et économique de notre « cher et beau pays », notamment les manifs et les casseurs. Oui, j’aurais aimé vous dire quelques mots sur les heurs et malheurs d’une société bloquée qui va tenter de se traîner comme une vieille truie jusqu’au printemps 2017, sauf si elle crève avant, surtout si l’on s’acharne sur elle…
Au plaisir de renouer avec vous bientôt (avant la rentrée de septembre),
Jean-Pierre Raison