Oui, cher Michel, j’ai quasiment de l’affection pour vous. La preuve : je parle régulièrement de vous dans mon blog, et je ne dis jamais de mal de votre personne. Bon, je suis parfois malicieux, et je plaisante sur vous, pas toujours élégamment. Ce n’est pas ma faute, je me laisse parfois emporter par mon verbe en voulant faire un bon mot. Peccadilles que tout ça !
Donc, cher Michel, vous m’êtes très sympathique, mais j’aurais cependant une chose à vous reprocher, si vous me le permettez. Celle d’avoir accepté d’écrire un livre en duo avec Monsieur Bernard-Henri Lévy, alias BHL. BHL ? Le « Bel Homme Lige » des puissants en général, et des fortunés en particulier. Ou plutôt, « Béhachel », le parleur incontinent, séducteur échevelé, et la cause de bien des maux, à ne pas confondre avec Bescherelle, le taiseux grammairien, grand amoureux du langage, et bienfaiteur des mots.
[Soit dit en passant, ne pas confondre non plus Béhachel avec Béchamel, le nom d’une sauce culinaire (voir Wikipedia), sans rapport avec la linguistique ni avec ce qui touche au sexe, encore que ceux qui pratiquent le cunnilingus (stimulation buccale du clitoris ou de la vulve) ne sauraient ignorer que la langue et la sauce qui en découle, occupent une place prépondérante. Quant à dire que la cuisine littéraire de M. Béhachel dégagerait un fort parfum d’érotisme, ce serait exagéré, même s’il trempe ses écrits dans toutes les sauces et mange à tous les râteliers.]
Louis-Nicolas Bescherelle et son frère Henri-Honoré sont des lexicographes et grammairiens, célèbres auteurs de manuels et de dictionnaires, qui ont donné leur nom à un ouvrage de référence de la langue française, le Bescherelle. Un patronyme qui, chez les (bons et dévoués) enseignants de l’Éducation nationale, renvoie instantanément à « dictionnaire de conjugaison » à recommander aux élèves de France et du monde francophone. C’est une marque, comme le jean Levi’s, sans commune mesure avec le falzar de Lévy.
C’est, ou plutôt c’était une griffe, tant le milieu éducatif d’aujourd’hui (inspiré par de sinistres ministres, sinon des ministres sinistrés) n’a plus grand-chose à voir avec celui que des presque septuagénaires comme moi ont connu. Eh oui ! De notre temps, les verbes ne se conjuguaient pas qu’au présent de l’indicatif, il fallait « se taper » tous les modes, quitte à passer pour un « bâtard » en employant malencontreusement (ou maltapropos !) un imparfait du subjonctif.
Trêve de tergiversations ! Pourquoi, mon Dieu, reprocher à Michel d’écrire en duo avec Bernard-Henri ? Ah ! Écrire en duo aurait pu se comprendre (Grasset et Flammarion avaient besoin de publicité, et eux d’un peu de blé), mais écrire pour se plaindre d’être des écrivains maudits, c’est trop, beaucoup trop, extrêmement trop, in-sup-por-table ! Insoutenable, pour « les vrais maudits » dont je me targuerais volontiers de faire partie si j’étais totalement dénué d’amour-propre. Non, je préfère laisser la parole à un écrivain vraiment maudit, le sieur Edmond de La Vergnaie, afin qu’il vous donne son opinion sur Ennemis publics, ce livre à quatre mains bêtement commis par Houellebecq et Lévy.
Mais qui est-ce, cet Edmond de La Vergnaie ?
Edmond de La Vergnaie est pour ainsi dire mon « maître », disons une sorte de modèle sur le plan littéraire. Laissons-le se présenter lui-même, quand l’humeur badine s’empare de lui, ce qui n’est pas si fréquent, tant la vie lui pèse par moments : « Edmond de La Vergnaie, hobereau décadent, mais gentilhomme dans le vent, et notamment écrivain résistant, dont la famille s’illustra sur tous les champs de patates du Bas-Poitou, et jusque dans les ravins des collines du haut bocage, terroir où j’ai longtemps occupé un moulin de meunier, avant de me retirer sur mon Aventin, quelques arpents de vigne sur un coteau d’où je surveille la terre de mes ancêtres et leurs nombreux tombeaux. »
D’humeur normalement saisonnière, je dresse de lui un portrait qui mériterait d’être encadré, et je m’exprime alors au passé simple ou composé, avec une certaine virulence, puisque je ne me remettrai jamais de sa disparition :
D’humeur carrément maussade, comme aujourd’hui, je sors la kalachnikov et je dézingue tout ce qui bouge… en remettant Edmond de La Vergnaie au goût du jour (un écrivain à découvrir, sinon à revisiter… si vous trouvez ses rares écrits publiés, à compte d’auteur, sur le marché ou chez les brocanteux, bouquinistes de bric de broc).
Voyez, ci-dessous, ce qu’il disait sur cette « maudissure dans l’écriture » qui touche les plus inattendus de nos littérateurs, et comment il s’en prenait à nos larrons Michel Houellebecq et Bernard-Henri Lévy. Des écrivains reconnus, renommés, titrés, qui se sont mis à deux pour rédiger, en 2008, un ouvrage — sous la forme d'une correspondance — où ils se jugent écrivains maudits, et s’en plaignent.
Honte à ces éditeurs, Grasset et Flammarion, qui, eux aussi, se sont associés pour propulser cette épistolerie à mourir de rire, qui s’intitule Ennemis publics.
Bilan, on les supportait, maintenant on ne peut plus les voir. Enfin, le BHL, c’est sûr, on le rend par les yeux, tandis que ce pauvre petit Michou, on ne peut que le gronder, pour mieux le consoler en le prenant sur nos genoux, alors qu’il mériterait tout autant que son comparse, un coup de pied sur le métatarse.
Mais, j’y pense, si vous avez acheté et lu mon autofiction L’écriture est une drogue dure, vous le connaissez déjà mon Edmond ? Ne me dites pas que… Vous voulez donc ma peau ! Méfiez-vous, vous pourriez l’avoir plus vite qu’il ne faut de temps pour s’envoyer un litron de Léon Millot (un vin de pays gouleyant, du moins pour les palais exercés) par le goulot.
Bon, si avec un article pareil, je ne remonte pas dans votre estime, je veux bien descendre m’enfermer dans les catacombes de mon immeuble où il y a des caves et du bon vin, à commencer par le mien. J’ai, camouflé derrière un présentoir mal fagoté, un Saint-Estèphe, Château Monrose, de 1961, dont vous pouvez voir une photo sur cette page de Wikipédia :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Château_Montrose
On fera sauter le bouchon le jour de mon enterrement… de vie de garçon. L’ennui, c’est que ce n’est pas pour demain. Pour la petite histoire, en 1961, j’avais quinze ans, je venais d’obtenir mon BEPC, et je m’apprêtais à partir d’un pensionnat tenu par des frères, pour entrer dans un autre pensionnat dirigé par des prêtres. Sinon, en 1961, dans ma bonne ville des Herbiers, en Vendée, je jouais plutôt bien au football. Avant, quand j’étais plus jeune, et plus petit, en 1957, j’étais capitaine de l’équipe minime de l’ESH (Entente sportive herbretaise). C’était l’époque du grand Reims. Mon joueur préféré était Roger Piantoni. Milieu de terrain, comme moi, gaucher, comme moi, Roger était un sacré tireur de coups francs… presque comme moi.
Pourquoi cette confidence sur le foot ? Parce que j’ai de plus en plus envie de tirer des coups de pied en douce et en vache sur cette « gauche » de micmacs, autrement dit de mique et de maquereaux (en patois vendéen, mique = merde).
BONNE FIN D’ÉTÉ.
Post-scriptum. J’ai peut-être omis de vous dire l’essentiel sur les écrivains maudits. Si BHL se prend pour un écrivain maudit, moi je le vois comme un écrivain que l’on devrait maudire pour tout le mal qu’il a pu faire dans le monde avec ses dramatiques interventions (géo)politiques et ses gravissimes ingérences au niveau international (en France, il compte pour du beurre, au moins se contente-t-il de graisser la patte de nos pauvres dirigeants impuissants et de nos puissants qui commandent tout, sauf la pluie ou le beau temps, et les guerres de partout, notamment au Proche et Moyen-Orient, dans les Balkans et en Afghanistan). On serait aussi prétentieux et imbu de soi (donc imbuvable) que lui, on demanderait qu’il soit traduit devant la Cour pénale internationale.
CAR IL EST RESPONSABLE ET COUPABLE D’AVOIR PARTICIPÉ À L’EXODE DES POPULATIONS QUI VIENNENT SE RÉFUGIER SUR NOTRE CONTINENT EUROPÉEN.
ET « L’INVASION » NE FAIT QUE COMMENCER. LA GUERRE DES PEUPLES EST EN MARCHE… MERCI POUR CE CHAMBARDEMENT, MONSIEUR BERNARD-HENRI LÉVY, L’HOMME AUX GROS SABOTS À SEMELLES DE VENT !
Là-dessus, et pour finir par un missile solaire, cette question à cent millions de dollars au soleil : « Et les migrants ? Pourquoi y z’iraient pas s’installer dans les colonies israéliennes ? »
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5) Un aperçu du contenu du livre :
C’est, ou plutôt c’était une griffe, tant le milieu éducatif d’aujourd’hui (inspiré par de sinistres ministres, sinon des ministres sinistrés) n’a plus grand-chose à voir avec celui que des presque septuagénaires comme moi ont connu. Eh oui ! De notre temps, les verbes ne se conjuguaient pas qu’au présent de l’indicatif, il fallait « se taper » tous les modes, quitte à passer pour un « bâtard » en employant malencontreusement (ou maltapropos !) un imparfait du subjonctif.
Trêve de tergiversations ! Pourquoi, mon Dieu, reprocher à Michel d’écrire en duo avec Bernard-Henri ? Ah ! Écrire en duo aurait pu se comprendre (Grasset et Flammarion avaient besoin de publicité, et eux d’un peu de blé), mais écrire pour se plaindre d’être des écrivains maudits, c’est trop, beaucoup trop, extrêmement trop, in-sup-por-table ! Insoutenable, pour « les vrais maudits » dont je me targuerais volontiers de faire partie si j’étais totalement dénué d’amour-propre. Non, je préfère laisser la parole à un écrivain vraiment maudit, le sieur Edmond de La Vergnaie, afin qu’il vous donne son opinion sur Ennemis publics, ce livre à quatre mains bêtement commis par Houellebecq et Lévy.
Mais qui est-ce, cet Edmond de La Vergnaie ?
Edmond de La Vergnaie est pour ainsi dire mon « maître », disons une sorte de modèle sur le plan littéraire. Laissons-le se présenter lui-même, quand l’humeur badine s’empare de lui, ce qui n’est pas si fréquent, tant la vie lui pèse par moments : « Edmond de La Vergnaie, hobereau décadent, mais gentilhomme dans le vent, et notamment écrivain résistant, dont la famille s’illustra sur tous les champs de patates du Bas-Poitou, et jusque dans les ravins des collines du haut bocage, terroir où j’ai longtemps occupé un moulin de meunier, avant de me retirer sur mon Aventin, quelques arpents de vigne sur un coteau d’où je surveille la terre de mes ancêtres et leurs nombreux tombeaux. »
D’humeur normalement saisonnière, je dresse de lui un portrait qui mériterait d’être encadré, et je m’exprime alors au passé simple ou composé, avec une certaine virulence, puisque je ne me remettrai jamais de sa disparition :
« Quel genre d’homme était donc ce La Vergnaie ? La Vergnaie n’était pas un homme, c’était un surhomme, un personnage mythologique. Homme de lettres vendéen, de la race des écrivains maudits, Edmond de La Vergnaie avait plus de disciples que de lecteurs. Il consacra la fin de sa vie à défendre sa haute idée de l’écriture et de la littérature. Il a ainsi suscité de nombreuses vocations, et – grâce à la Fondation (une résidence d’auteurs joliment appelée “Villa Babylonia”) qu’il a créée – donné naissance à une pléiade de jeunes loups de la plume. Aujourd’hui, ces derniers s’évertuent à promouvoir son œuvre, si riche, et si singulière. Ironie du sort, lui qui se sera tant insurgé contre ces “prébendiers de la culture qui s’engraissent dans leurs sinécures” et contre ces “vampires budgétivores qui sucent aides et bourses comme des porcs”, a laissé son nom à une fondation qui, en 2012, bénéficie du soutien de la Direction nationale du Livre et profite d’une subvention du Centre régional des lettres des Pays de la Loire. Des subsides infinitésimaux comparés aux tonneaux de largesses déversées sur le troupeau des privilégiés patentés, mais mille fois supérieurs aux symboliques droits d’auteurs que lui aura rapportés son exténuant labeur d’écrivain prolifique. »
Citation extraite de mon témoignage autofictif, L’écriture est une drogue dure. Ainsi que je le précise dans ce même livre, Edmond de La Vergnaie, aujourd’hui disparu, a été mon maître en écriture et mon père spirituel. Il m’est, je l’avoue, arrivé de le piller sans toujours le citer, mais, de son vivant, il m’avait désigné comme le légataire universel de ses œuvres [Pour le reste, il n’y avait rien à hériter, puisqu’il est mort fauché comme les blés. D’ailleurs, il nous a quittés pendant les moissons de la ferme voisine, laquelle jouxtait la cabane où il avait trouvé refuge.] Parmi lesdites œuvres, retenez son flamboyant pamphlet, Ultime récital d’un écrivain maudit©, sur lequel je reviens ci-dessous, et que j’envisage (?) de porter à votre connaissance dans ce blog. J’en profiterai peut-être pour publier deux ou trois de mes propres inédits (à moins que je les refile à Amazon, en version kindle ?). Restera à trouver la formule de commercialisation de ces textes qu’il serait pécher de diffuser gratuitement tant ils sont imprégnés de « larmes et de sang ». S’il y a des éditeurs parmi vous, c’est le moment ou jamais de se bouger le derrière.
Dans L’écriture est une drogue dure, j’aurais dû remercier Edmond de La Vergnaie. J’avais prévu de le faire, c’est un oubli. Pas trop grave, parce que mes remerciements se justifiaient par la reprise intégrale d’un chapitre « qui a été supprimé au montage », comme on dit dans les médias audiovisuels… quand ils veulent bien s’en vanter ! Alors, une fois pour toutes, voici un petit pavé « Remerciements » pour payer ma dette, ces divers emprunts à taux zéro :
REMERCIEMENTS
Je remercie mon vénérable maître, Edmond de La Vergnaie, de m’avoir permis (avant sa mort) de reprendre quelques passages de son ouvrage, Ultime récital d’un écrivain maudit©. Que Dieu lui en soit reconnaissant, et veuille bien le sortir des feux de cet enfer où je n’aimerais pas le retrouver. Et que mon père spirituel me pardonne cette saillie, qui ne m’enverra sûrement pas au paradis. À bientôt, donc, cher Edmond. Votre Jean-Pierre.
Ah ! Si tous les plagiaires repentis voulaient bien se donner la main,
(par crainte d’être rattrapés par la justice divine)
le tour du monde des menteurs et des brigands serait bouclé en un clin d’œil.
Voyez, ci-dessous, ce qu’il disait sur cette « maudissure dans l’écriture » qui touche les plus inattendus de nos littérateurs, et comment il s’en prenait à nos larrons Michel Houellebecq et Bernard-Henri Lévy. Des écrivains reconnus, renommés, titrés, qui se sont mis à deux pour rédiger, en 2008, un ouvrage — sous la forme d'une correspondance — où ils se jugent écrivains maudits, et s’en plaignent.
Honte à ces éditeurs, Grasset et Flammarion, qui, eux aussi, se sont associés pour propulser cette épistolerie à mourir de rire, qui s’intitule Ennemis publics.
Bilan, on les supportait, maintenant on ne peut plus les voir. Enfin, le BHL, c’est sûr, on le rend par les yeux, tandis que ce pauvre petit Michou, on ne peut que le gronder, pour mieux le consoler en le prenant sur nos genoux, alors qu’il mériterait tout autant que son comparse, un coup de pied sur le métatarse.
Voici, à la sortie du livre, ce que fut
la réaction de l’impétueux Edmond de La Vergnaie
« À propos des “écrivains maudits”, méfiez-vous des faussaires. Dans la droite ligne de la dérive compassionnelle, actuelle, des célébrités de la plume (BHL et Houellebecq), qui ont épuisé les charmes de la renommée, et qui semblent à court d’inspiration, se font passer pour des écrivains maudits. Ceux-là, qui se disent détestés, haïs, méprisés par le milieu littéraire, maudissez-les, ils sont la lie de la profession. Les vrais maudits, c’est moi, c’est eux, ces nous, tous ceux que le “système” rejette parce que nos écrits éclipseraient les œuvres de ces imposteurs, confortablement installés dans l’ordre établi, ayant pignon sur les avenues du pouvoir, jouissant de hautes protections, et qui valent nettement moins que leurs “à-valoir”. Des pleutres qui viennent pleurnicher dans les médias, mais qui, dans les couloirs des maisons d’édition, nous dénigrent et sabotent notre talent. On leur ferait trop d’ombre à ces privilégiés qui se cooptent les uns les autres, quand ils ne se pacsent pas entre eux. Bien sûr, ces mœurs consanguines donnent une littérature bâtarde qui a conduit à l’effacement du rayonnement des Lettres françaises. »
Passage extrait du pamphlet de M. Edmond de La Vergnaie,
intitulé Ultime récital d’un écrivain maudit©.
Bon, si avec un article pareil, je ne remonte pas dans votre estime, je veux bien descendre m’enfermer dans les catacombes de mon immeuble où il y a des caves et du bon vin, à commencer par le mien. J’ai, camouflé derrière un présentoir mal fagoté, un Saint-Estèphe, Château Monrose, de 1961, dont vous pouvez voir une photo sur cette page de Wikipédia :
https://fr.wikipedia.org/wiki/Château_Montrose
On fera sauter le bouchon le jour de mon enterrement… de vie de garçon. L’ennui, c’est que ce n’est pas pour demain. Pour la petite histoire, en 1961, j’avais quinze ans, je venais d’obtenir mon BEPC, et je m’apprêtais à partir d’un pensionnat tenu par des frères, pour entrer dans un autre pensionnat dirigé par des prêtres. Sinon, en 1961, dans ma bonne ville des Herbiers, en Vendée, je jouais plutôt bien au football. Avant, quand j’étais plus jeune, et plus petit, en 1957, j’étais capitaine de l’équipe minime de l’ESH (Entente sportive herbretaise). C’était l’époque du grand Reims. Mon joueur préféré était Roger Piantoni. Milieu de terrain, comme moi, gaucher, comme moi, Roger était un sacré tireur de coups francs… presque comme moi.
Pourquoi cette confidence sur le foot ? Parce que j’ai de plus en plus envie de tirer des coups de pied en douce et en vache sur cette « gauche » de micmacs, autrement dit de mique et de maquereaux (en patois vendéen, mique = merde).
BONNE FIN D’ÉTÉ.
Post-scriptum. J’ai peut-être omis de vous dire l’essentiel sur les écrivains maudits. Si BHL se prend pour un écrivain maudit, moi je le vois comme un écrivain que l’on devrait maudire pour tout le mal qu’il a pu faire dans le monde avec ses dramatiques interventions (géo)politiques et ses gravissimes ingérences au niveau international (en France, il compte pour du beurre, au moins se contente-t-il de graisser la patte de nos pauvres dirigeants impuissants et de nos puissants qui commandent tout, sauf la pluie ou le beau temps, et les guerres de partout, notamment au Proche et Moyen-Orient, dans les Balkans et en Afghanistan). On serait aussi prétentieux et imbu de soi (donc imbuvable) que lui, on demanderait qu’il soit traduit devant la Cour pénale internationale.
CAR IL EST RESPONSABLE ET COUPABLE D’AVOIR PARTICIPÉ À L’EXODE DES POPULATIONS QUI VIENNENT SE RÉFUGIER SUR NOTRE CONTINENT EUROPÉEN.
ET « L’INVASION » NE FAIT QUE COMMENCER. LA GUERRE DES PEUPLES EST EN MARCHE… MERCI POUR CE CHAMBARDEMENT, MONSIEUR BERNARD-HENRI LÉVY, L’HOMME AUX GROS SABOTS À SEMELLES DE VENT !
Là-dessus, et pour finir par un missile solaire, cette question à cent millions de dollars au soleil : « Et les migrants ? Pourquoi y z’iraient pas s’installer dans les colonies israéliennes ? »
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Petit rappel sur le livre que je viens de publier :
« QUAND J’ÉTAIS CHÔMEUR »
1) La couverture de l’ouvrage :
2) La quatrième de couverture de l’ouvrage :
3) Caractéristiques du livre :
Format : 12 x 19 cm
Pagination : 162 pages
ISBN : 978-2-312-03477-5
Publié en juillet 2015 par Les éditions du Net
Prix de vente public de la version papier : 12 € TTC
Prix de vente public de la version PDF et Epub : 8 € TTC
5) Un aperçu du contenu du livre :
N’oubliez pas d’aller en bas de la page, pour cliquer sur le rectangle APERÇU relié à une liseuse, qui vous permettra de lire gratuitement (encore !) les treize premières pages du livre.
4) Comment le commander :
Auprès de l’éditeur : www.leseditionsdunet.com
Auprès de votre libraire habituel…
6) Ma page auteur sur Amazon.fr :
Que puis-je vous dire de plus et de mieux !
À BIENTÔT LES AMIS !
Jean-Pierre Raison
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