Dans mon mail du 01/09/201, je vous écrivais ceci :
« En cette rentrée 2016, littéraire et politique, je suis heureux de vous retrouver après de longs mois consacrés à la mise au point d’un recueil de textes (récits, nouvelles, tranches de vie) qui devrait paraître au plus tard en janvier 2017. Ce recueil est actuellement entre les mains d’un lecteur professionnel qui, au fil des années, est quasiment devenu my literary advisor. Non, non, il n’est pas américain, c’est moi qui suis translator. Parmi mes dernières traductions, Writing is a hard drug, of John-Peter Reason [in french : « L’écriture est une drogue dure », de Jean-Pierre Raison]. »
Eh bien, mon conseiller littéraire s’est prononcé : « Votre texte est formidable ! » Les quelques éditeurs contactés ont l’ouvrage entre leurs mains, à eux de décider. Pour ma part, et par sécurité (après la Présidentielle de 2017, quel que soit le gagnant, l’inflation va repartir), j’ai déjà commandé les petits fours pour un éventuel grand prix décerné en automne. Et si c’est un gros bide ? On les donnera aux Restos du cœur, même les moisis, s’il y en a. Les fauchés ne sont pas de ceux-là, ils bouffent tout. Rien ne résiste à leurs dentiers en plastique. Non, non, je ne me moque pas d’eux. N’oubliez pas que mon ouvrage précédent, publié en juillet 2015, s’intitule Quand j’étais chômeur. Comme vous avez la mémoire courte et que vous doutez de mes propos, en voici la preuve : le recto et le verso de l’une de mes cartes de pointage.
À cette époque, début des années 80, « Les Restos du cœur » n’existaient pas [Le premier restaurant du cœur ouvre ses portes en France, le 21 décembre 1985.]. De toute façon, pour les cadres qui, comme moi, se trouvaient en fin de chômage de longue durée, il était délicat d’aller mendier son pain où que ce soit, puisque la plupart des gens nous croyaient largement indemnisés. En vérité, il fallait joindre les deux bouts avec une allocation de solidarité qui ne couvrait même pas le loyer. C’est ainsi que votre livret A fond comme neige au soleil, et si vous n’avez pas de plan B, vous êtes tout simplement plombé.
Donc, si vous me le permettez, je n’ai de leçon à recevoir de personne, d’autant que je n’en donne pas moi-même, ou alors rarement. C’est particulièrement vrai dans le domaine de l’écriture. Encore que, après avoir publié (je laisse de côté les manuscrits restés lettre morte !) une douzaine de livres, je pourrais en apprendre à beaucoup. Problème : je ne crois pas dans ce qu’on appelle « les ateliers d’écriture », car, pour moi, écrire est une activité qui s’exerce en solitaire, comme d’autres plaisirs d’ailleurs, sauf que la souffrance l’emporte souvent sur l’agrément. Surtout quand l’écriture est chez vous une drogue dure qui vous a conduit au chômage. Pour votre information, ci-dessous deux liens qui renvoient à Facebook, un réseau social dont je ne fais pas partie (mon éditeur, oui), car je préfère me vouer exclusivement à mon blog, à vous, donc, qui êtes mes meilleurs amis, ceux à qui je me confie.
L’écriture est une drogue dure
https://www.facebook.com/editions.dunet/app/251458316228/?app_data=!%2Fp%2F59088378
Quand j’étais chômeur
Quand j’étais chômeur
Ouf ! Cette copieuse et pénible entrée en matière pour vous annoncer la future parution d’un livre dont je ne connais pas encore l’éditeur… qui pourrait bien être Les Éditions du Net.
Le lien ci-dessous vous rappelle la liste des livres que j’ai publiés chez cet éditeur, ainsi que ceux des deux auteurs que j’ai parrainés, Clémentin de Saint-Mars et Elsa d’Horgevil. Je ne suis pas leur mécène, seulement leur protecteur.
http://www.leseditionsdunet.com/published_book.php
J’aurais grande envie de vous livrer le titre de cet ouvrage, au demeurant déposé chez Copyright-France, mais, je vous l’ai dit dans un post précédent, il y a tellement de brigands, sans scrupules évidemment, dans ce milieu de l’édition (autant que dans le Showbiz), que je préfère la boucler.
Pour une fois que je la ferme, vous n’allez pas vous en plaindre, moi qui vous soûle souvent plus que de raison.
Bonnes fêtes de fin d’année, et vivement 2017, où la consécration m’attend. Si, si, j’ai consulté la Pythie (l’oracle de Delphes), et la divinatrice a été formelle : « En novembre 2017, vous serez l’heureux élu du mois. Novembre, n’est-ce pas la période des prix littéraires ? Ma prophétesse pensait-elle au sacro-saint Goncourt, voire à l’auguste Renaudot (qui, en vérité, se prénomme Théophraste) ?
Si c’est effectivement moi qui décroche la timballe, il faudra alors m’appeler « le Grantécrivain », et faire la courbette devant moi en me saluant.
Si c’est effectivement moi qui décroche la timballe, il faudra alors m’appeler « le Grantécrivain », et faire la courbette devant moi en me saluant.
Bonne nuit les petits, comme disait naguère Nounours à la télévision pour endormir les enfants.
Jean-Pierre Raison, l’illustre inconnu appelé à devenir célèbre.
Message personnel à mon ami Gérard :
Est-ce toi qui m'a envoyé un message inquiétant ce mercredi 21, à 5 h 52 ? Je subodore l’arnaque, car je ne reconnais pas ton adresse mail. J’avais comme email : gerard.jovene@wanadoo.fr, et celui que je viens de recevoir provient de l'email : gerardjovene@orange.fr
En espérant que tu prendras vite connaissance de ce message. Amitiés.
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Message personnel à mon ami Gérard :
Est-ce toi qui m'a envoyé un message inquiétant ce mercredi 21, à 5 h 52 ? Je subodore l’arnaque, car je ne reconnais pas ton adresse mail. J’avais comme email : gerard.jovene@wanadoo.fr, et celui que je viens de recevoir provient de l'email : gerardjovene@orange.fr
En espérant que tu prendras vite connaissance de ce message. Amitiés.
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