lundi 6 octobre 2014

Un livre dont personne ne parle, sauf…

Aujourd’hui, je vais vous parler d’un livre, paru aux Éditions du Net en octobre 2013, qui est passé totalement inaperçu. Il s’agit du premier roman de Clémentin de Saint-Mars, intitulé : Tout ça pour une gamine !

Comment je connais cet homme ? 

Clémentin de Saint-Mars et moi, nous publions chez le même éditeur. En surfant dans le catalogue de la maison, je suis tombé sur son livre. J’ai ensuite fait des recherches sur le Net, et j’y ai vu diverses choses, notamment sur Amazon. Là, j’ai lu l’avis élogieux d’un client, signé « Klem de SM ». Un pseudo, forcément. En ouvrant la page auteur de Clémentin de Saint-Mars, j’ai alors eu accès à sa biographie où tout est dit sur lui et sur son roman.
L’on y apprend, entre autres, que le fameux lecteur, « Klem de SM », se nomme en fait Adrien Delisle-Adam, et qu’il est pigiste à L’Écho des Yvelines et de L’Essonne réunis. Un pigiste qui, le 21 février 2014, a publié, dans cet hebdomadaire de l’Île-de-France, une brillante critique sur Tout ça pour une gamine ! En homme avisé, Clémentin de Saint-Mars s’est donc fait un malin plaisir de reprendre dans sa biographie l’intégralité de l’article ci-dessous. [Vous remarquerez, au passage, que la presse écrite régionale n’a rien à envier à la presse nationale (dont la parisienne), et que, tant sur le fond que dans la forme, ce papier journalistique est une petite merveille.]

Pourquoi un tel silence autour de cet ouvrage ?

Parce que sur ce sacro-saint Internet, la censure sévit, tandis que dans notre chère et belle France, « l’omerta » règne. Dans la mafia, notamment en Sicile, « l’omerta », c'est la loi du silence : ceux qui savent doivent se taire, et ceux qui l’ouvrent finissent le plus souvent dans un cercueil.
J’exagère, bien sûr, pour vous faire peur. 
Il n’empêche que les contraintes culturelles, psychologiques ou intellectuelles, exercées sur chacun par ce que le grand homme de lettres Félicien Marceau (1913-2012) appelait « le système » (politique, économique et social), ces contraintes-là sont, dans leur genre, tout aussi terrorisantes que les pressions mafieuses.
Oui, je sais, sur le papier, nous sommes en république et nous vivons dans un régime démocratique. Sauf que ces grands principes inscrits dans notre divine constitution ne sont que des réalités virtuelles. Car, derrière ces postulats ronflants, se cache — et je pèse mes mots ! — une dictature sournoise qui impose ses goûts, ses normes et son mode de pensée. Ah ! ce n'est pas seulement l’idéologie dominante, c’est aussi la morale oppressante, les bienséances étouffantes et l’hypocrisie rampante.
Bon, j’arrête là, avant de déclencher un cataclysme, et je vous invite simplement à vous rendre sur www.leseditionsdunet.com/, et plus précisément à cette adresse :

À vous de jouer, les amis, et bonne lecture.

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