Après le premier roman de Clémentin de Saint-Mars, Tout ça pour une gamine !,
que je vous ai présenté (et invité à lire) dans mon article du 6 octobre 2014, voici un autre premier roman, Un ténébreux vertige, sur lequel je voudrais attirer votre attention.
que je vous ai présenté (et invité à lire) dans mon article du 6 octobre 2014, voici un autre premier roman, Un ténébreux vertige, sur lequel je voudrais attirer votre attention.
Cet ouvrage, publié aux Éditions du Net (un éditeur numérique, mon propre éditeur, peu en cour dans le petit milieu germanopratin, mais qui donne sa chance à beaucoup d’auteurs et qui, mine de rien, fait son chemin sans se prendre pour quelqu’un), mérite que l’on s’y attarde non seulement pour sa qualité d’écriture, mais parce que la jeune fille qui l’a écrit et qui s’appelle Elsa d’Horgevil, a tout juste dix-huit ans.
Plutôt que de disserter sur ce livre, je me contenterai de vous livrer deux éléments qui sauront vous convaincre :
1) Un article paru dans La Gazette de Châteaumont (premier bimensuel des Pays de la Loire), signé Antoine Lechagrin, un journaliste plus connu en province qu’à Paris, ce qui est un gage de qualité.
https://blogger.googleusercontent.com/img/b/R29vZ2xl/AVvXsEg8TGmA8LZgwenI6fVt1kMoQicUya9fqT7w0Il_59lHA6vRHrhKLbj5CDOX9rE5v2gDGh_E1B9GqeKGbU0ecsvkZslslUeAlhV_6NPakyLk4W8X-6q72mhPbeVB7N0j-EuKzh2TnKvzUyWR/s1600/Entretien+avec+Elsa+d'Horgevil.eps.jpg
Ici, l’ouvrage est accessible dans sa version « ebook » :
https://itunes.apple.com/WebObjects/MZStore.woa/wa/viewGenre?id=38&mt=11&ls=1
Avis de John Peet (prononcer « Pite ») du 19 septembre 2014
Un premier roman étonnant
Quelle maîtrise dans l’analyse psychologique ! Quelle justesse dans le propos et quelle efficacité dans le style ! Ce roman, si singulier et si malicieux, a un charme fou. Il est le fruit d’une grande intelligence. On souhaite à Mademoiselle d’Horgevil un destin à la Sagan. François Mauriac voyait en la jeune Françoise Sagan, un « charmant petit monstre ». Qu’aurait-il dit d’Elsa d’Horgevil ? Un « troublant petit prodige ».
[Notez que l’ebook de Tout ça pour une gamine !, le roman de Clémentin de Saint-Mars, a été refusé par Apple, c’est-à-dire censuré. Pour quels motifs ? Trop libre, trop réjouissant, trop malicieux, trop cru, trop gaulois, etc., au regard du puritanisme américain.]
Avec ces deux éléments de persuasion — l’interview de Monsieur Lechagrin et l’avis de Mister Peet —, vous allez vite être convaincus de l’intelligence et du talent de Mademoiselle d’Horgevil, une écrivaine qui va en épater plus d’un dans les années à venir. Je ne sais pas si elle a un deuxième roman en cours, mais ce dont je suis sûr c’est que nous tenons là une valeur prometteuse de la littérature française. Plus qu’une surdouée, la jeune Elsa est une prodigieuse romancière.
Croyez-en mon sixième sens qui me fait subodorer que pour cette petite, « l’avenir, c’est maintenant ». Pour elle, même le présent est dépassé, car elle va de l’avant. Et c’est en cela qu’elle est si différente de moi qui suis un brave type un tantinet « réac ». Un « vétéran de l’écriture », pas mécontent de lui, qui mise sacrément sur elle.
Place aux jeunes, bordel ! Aux meilleurs d’entre eux, du moins, parce que les minus habens [personne d’une intelligence largement inférieure au minimum supportable ou d’une médiocrité intellectuelle qui dépasse les bornes, à vous de choisir], merci ça va, la France en a des tonnes à vendre (et les clients se font rares !)… pas seulement dans la sphère gouvernementale, mais à tous les niveaux de l’échelle politique, économique, sociale et culturelle. Inutile de ratisser large, il n’y a que l’embarras du choix !
À SUIVRE… si les sbires des pouvoirs en place (ou en réserve) ne me font pas la peau avant.
Avec ces deux éléments de persuasion — l’interview de Monsieur Lechagrin et l’avis de Mister Peet —, vous allez vite être convaincus de l’intelligence et du talent de Mademoiselle d’Horgevil, une écrivaine qui va en épater plus d’un dans les années à venir. Je ne sais pas si elle a un deuxième roman en cours, mais ce dont je suis sûr c’est que nous tenons là une valeur prometteuse de la littérature française. Plus qu’une surdouée, la jeune Elsa est une prodigieuse romancière.
Croyez-en mon sixième sens qui me fait subodorer que pour cette petite, « l’avenir, c’est maintenant ». Pour elle, même le présent est dépassé, car elle va de l’avant. Et c’est en cela qu’elle est si différente de moi qui suis un brave type un tantinet « réac ». Un « vétéran de l’écriture », pas mécontent de lui, qui mise sacrément sur elle.
Place aux jeunes, bordel ! Aux meilleurs d’entre eux, du moins, parce que les minus habens [personne d’une intelligence largement inférieure au minimum supportable ou d’une médiocrité intellectuelle qui dépasse les bornes, à vous de choisir], merci ça va, la France en a des tonnes à vendre (et les clients se font rares !)… pas seulement dans la sphère gouvernementale, mais à tous les niveaux de l’échelle politique, économique, sociale et culturelle. Inutile de ratisser large, il n’y a que l’embarras du choix !
À SUIVRE… si les sbires des pouvoirs en place (ou en réserve) ne me font pas la peau avant.