Légitime mouvement d’émancipation des femmes (converti en combat pour la libération des femmes), le féminisme est devenu une religion dont les prosélytes sont en majorité des intégristes, parmi lesquel(le)s un noyau d’extrémistes incontrôlables qui n’ont rien à envier aux « fondamentalistes » de tout poil, sauf que leurs moyens de persuasion se limitent, pour l’instant, à des actions psychologiques, des coups d’éclat et des violences verbales. Mais nous sommes loin de la forte contestation et du digne engagement intellectuel des débuts du MLF, la lutte, aujourd’hui, ayant pris une tournure radicale et dérivé vers la croisade.
D’une manière générale, il y a, me semble-t-il, plus d’humanité chez les fidèles du catholicisme que chez les prosélytes du féminisme. Si, comme on le dit avec un brin d’ironie, l’Église catholique est une secte qui a réussi, la mouvance féministe est en passe de submerger tous les autres mouvements de libération. Le combat de ces femmes-là (j’allais écrire de ces femelles-là ?) — mi-walkyries endiablées, mi-pétroleuses racornies —revient à une guerre pour l’abolition de la suprématie masculine, du moins des « privilèges » dont jouiraient certains hommes (j’aurais pu écrire certains mâles).
Bon, si j’aborde, ici et maintenant, ce sujet inquiétant, sans jouir d’aucune sorte d’habilitation, c’est que j’ai un certain sens de la prémonition et un goût très prononcé pour la liberté d’expression. Si je m’y colle, incidemment, c’est qu’il y a dans le comportement des plus engagées d’entre les féministes, une sorte de racisme anti-hommes qui vient s’ajouter à toute la gamme des ostracismes et des phobies.
Vous l’avez compris, je ne veux pas aller plus loin dans ma prise de position, car je suis quelqu’un qui respecte toutes les positions. À cet égard, et je conclurai là-dessus, les féministes feraient bien de réviser leurs classiques (du moins celles qui, comme moi, ont un minimum de bagage intellectuel), en allant feuilleter nuitamment le Kâma-Sûtra (la bible de la jouissance ou l’art des positions orgasmiques).
Pour ne pas risquer d’être effarouchées, mesdames, je vous suggère de commencer par le Petit Kama-Sutra illustré :
Bon, si j’aborde, ici et maintenant, ce sujet inquiétant, sans jouir d’aucune sorte d’habilitation, c’est que j’ai un certain sens de la prémonition et un goût très prononcé pour la liberté d’expression. Si je m’y colle, incidemment, c’est qu’il y a dans le comportement des plus engagées d’entre les féministes, une sorte de racisme anti-hommes qui vient s’ajouter à toute la gamme des ostracismes et des phobies.
Vous l’avez compris, je ne veux pas aller plus loin dans ma prise de position, car je suis quelqu’un qui respecte toutes les positions. À cet égard, et je conclurai là-dessus, les féministes feraient bien de réviser leurs classiques (du moins celles qui, comme moi, ont un minimum de bagage intellectuel), en allant feuilleter nuitamment le Kâma-Sûtra (la bible de la jouissance ou l’art des positions orgasmiques).
Pour ne pas risquer d’être effarouchées, mesdames, je vous suggère de commencer par le Petit Kama-Sutra illustré :
puis de tenter de pénétrer dans cet ouvrage plus « chiadé » :
Quant à vous, messieurs, l’avenir ne vous appartient plus. Avant peu, vous serez dominés dans tous les domaines, et vous comprendrez vite votre douleur et votre malheur.
Pour ma part, j’ai trouvé depuis longtemps mon « âme sœur », ma « deuxième moitié d’orange », selon la jolie expression du journaliste, écrivain, critique Jean-Louis Bory, homosexuel revendiqué et ardent militant de la cause « gay » (comme Gai Pied), et notamment l’auteur d’un roman iconoclaste et loufoque : Le Pied.
Oui, j’ai cette chance d’avoir trouvé une « âme sœur » dotée d’une belle personnalité, et on ne peut plus féminine. Une femme telle qu’on les aime, quoi !Signé : Un impie qui, dans son for intérieur, ne croit pas en une féminisation outrancière, durable, du monde (car le phénomène devient universel), et qui fera tout ce qui est en son pouvoir démocratique (par le droit de vote… et le verbe) pour empêcher cette funeste dérive préjudiciable à toute la société. En écrivant cela, je ne peux m’empêcher de sourire, tant mes propos sonnent faux dans ma bouche de bon apôtre œcuménique qui préfère de loin l’amour à la guerre. Vive le 11 novembre ! Vive la République ! Vive la France !
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