lundi 3 novembre 2014

Familles, je ne vous hais point, mais le célibataire compte-t-il pour du beurre ?

… En tout cas, on le prend pour une andouille de Guéméné-sur-Vire. Du beurre ! Dieu sait s’il en met dans vos épinards ! Ben oui ! Pour casquer, il casque, je dirais même plus qu’il contribue comme une bête.
D’un point de vue fiscal, et sur d’autres plans tels la consommation et le logement, le célibataire est assimilé à un ménage. On le traite comme un chien, on le trait comme une vache à lait, et on le charge comme un bourricot. En plus, on lui demande de faire le bœuf et l’âne dans la crèche de Noël pour mieux renifler les cadeaux achetés en son nom chez le fournisseur d’allocs du coin. Encore plus fort : quand vient l’Épiphanie, faute de jouer Gaspard ou Balthazar, il remplace au pied levé Melchior qui s’est planté dans le décor avant d’arriver à bon port (une plaque de verglas… les Ponts et Chaussées manquant d’équipements, déficit public aidant).
Bref, le célibataire est un ménage à lui tout seul, et la ménagère de moins de quarante ans le sait bien, qui lui court après au supermarket du quartier, tandis que son bonhomme s’échine à ramener son pesant d’oseille (pas lourd, il est maigre comme un clou). C’est que la « housewive » [femme au foyer, d’après Elle ; bonniche, d’après Lui] en connaît un rayon côté fredaines, et le célibattant n’a rien à lui envier qui cavale à tire-larigot. Comme dirait Madame Michu, « tout ça est fait pour s’emmancher » et, de fait, ça s’emboîte pile poil comme deux tupperwares. L’amour conserve, mais ne se conserve pas, dit-on. Qu’importe ! Ces deux-là n’ont pas besoin de frigidaire, il consomme l’amour (au sens d’Éros) au fur et à mesure et tout pendant qu’il dure. Elle n’est pas belle la vie ! Elle pourrait l’être, ma foi, si notre gourgandine n’était pas gourmande en tout, par exemple en lingerie fine. Il est vrai que le soutif à armatures – 95 C – de chez Bellecourbe est hors de prix, mais offrir un article affriolant et l’essayer sur place, cela a plus de peps et de classe que de glisser un billet de mille roupies sous le cendrier en arcopal. Ici, pour l’épouse du « husband » [mari in french], pas question d’arrondir les fins de mois, car ce serait des coups à se faire engrosser au petit matin (propice aux ébats), à l’heure où Raymond regagne ses pénates après une nuit d’un labeur assommant.
Bon, on ne va pas en faire tout un roman d’une banale aventure extra-conjugale, quand j’étais parti pour m’étendre sur le sort bien injuste réservé au brave célibataire perfusé de partout. Si encore il avait été le grand gagnant à l’Euro Millions du 24 octobre 2014 ! Mais qu’en aurait-il fait de ce magot ? Généreux (con) comme il est, je me demande s’il ne s’en serait pas dépossédé au profit de l’État dont l’endettement fait pitié. 
Grâce à ses/ces malheureux 190 millions, la dette publique, qui dépasse les 2 000 milliards, aurait baissé de 0,000095 %. Autant donner 1 000 euros aux quelque 190 000 SDF que compte notre beau pays !

Nota :  Moi, je les aurais utilisés différemment ces 190 millions, mais cela je vous le dirai dans un prochain article.

1 commentaire:

  1. Opportunité de prêt offerte par M. Benjamin qui sauve ma famille de la servitude financière {lfdsloans@lemeridianfds.com}

    Bonjour à tous, je suis la mère célibataire de Putri Adiratnaa de Jakarta, je voudrais partager ce grand témoignage sur la façon dont j'ai obtenu un prêt de M. Benjamin, lorsque nous avons été chassés de notre maison alors que je ne pouvais plus payer mes factures, après se faire arnaquer par diverses sociétés en ligne et refuser un prêt de ma banque et d'une autre caisse populaire que j'ai visitée. Mes enfants ont été pris en charge par la famille d'accueil, j'étais tout seul dans la rue. Le jour où j'ai honteusement rencontré un camarade de classe qui m'a présenté Daisy Maureen. Au début, je lui ai dit que je ne suis plus prête à prendre le risque de demander un prêt en ligne, mais elle m'a assuré que je recevrais mon prêt de leur part. Dans un second temps, en raison de mon sans-abrisme, j'ai dû faire un essai et demandé le prêt, heureusement pour moi, j'ai reçu un prêt de 80,000.00 $ de M. Benjamin. Je suis heureux d'avoir pris le risque et demandé le prêt. Mes enfants m'ont été rendus et maintenant je possède une maison et une entreprise à moi. Tous les remerciements et gratitude vont au service de financement Le_Meridian et à l'aide de M. Benjamin pour m'avoir donné un sens à la vie alors que j'avais perdu tout espoir. Si vous recherchez actuellement une assistance de prêt, vous pouvez les contacter via: {lfdsloans@lemeridianfds.com} ou WhatsApp + 1-989-394-3740

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