jeudi 13 août 2015

MES ANNÉES 80 : UN DÉBUT SUPER DISCO ET AU FINAL « THE BIG FIASCO »

« J’entends siffler le train du succès éditorial avec mon futur best-seller dont vous aurez bientôt la primeur. » [cf. mon post du 13 juillet 2015.]
Thus spoke the great writer John-Peter Reason that did not take shit for 
(Ainsi parlait le grand écrivain Jean-Pierre Raison qui ne se prenait pas pour une m…), 
au sujet de son ouvrage à paraître. Était-ce une info, était-ce une intox, that is the question ?

Le voilà mis aujourd’hui devant le fait accompli, et prêt à relever le défi. Quel homme ! Il a joué gros, il ne lui reste plus qu’à rafler la mise et gagner ainsi son pari. Diable ! D’aucuns diraient qu’il est mal barré, mais il n’est pas du genre à sauter d’un voilier en marche. Sinon, bonjour la galère ! Comment reculer quand on s’est tant avancé ? Comment s’en sortir par la fenêtre quand on a ouvert la porte aux attentes les plus folles ? Car il est comme ça, le lecteur, il croit tout ce qu’on lui dit du moment que c’est gratuit. « Garçon ! L’addition s’il vous plaît. » Jamais, il ne dira cela. Nous sommes sur un blog, ici, celui qui paye cash n’est pas celui qui s’en met plein les mirettes, mais ce pauvre imbécile qui se dépense comme un forcené pour les beaux yeux d’une poignée d’abonnés — ne levez surtout pas le doigt pour dire « Moi ! », chacun sait bien que vous tenez presque sur une main, et encore en trichant, parce que je me suis mis dedans, avec l’une de mes nièces qui a pitié de son ronchon de tonton vieillissant. Et le nombre de consultations, alors, c’est du vent, du flan, du rien, du nenni ? Ah les consultations ! Même celles des médecins traitants ne sont plus ce qu’elles étaient avant la faillite de la Sécu ! Dieu sait pourtant si la population branle dans le manche ! Ça meurt à tour de bras, surtout chez ceux qui traitent leur santé par-dessus la jambe, ou qui se soignent comme des pieds avec des médicaments périmés, ou qui n’arrivent plus à se faire rembourser et qui font ceinture. Donc, les consultations, mieux vaut s’en méfier, ce n’est qu’un pis-aller pour ceux qui, de toute façon, n’en reviendront jamais. Les cimetières sont bourrés d’individus indispensables, disent les chômeurs qui sont les premiers à y entrer, souvent après avoir trop picolé. Tiens, tiens, les chômeurs ! Si on s’attardait sur leur sort avant qu’ils aient tous disparu… à la saint glinglin. Ce serait-y pas une bonne idée, des fois ? 
Et nous y voilà, à ce futur best-seller — annoncé dans mon post du 13 juillet 2015, la veille de ce défilé présidé par notre bien mal-aimé François Hollande — qui attendait sagement son heure, et dont nous allons dire le plus grand bien, en toute objectivité. Si le cœur vous en dit, le voici.
Auparavant, une précision sur l’auteur. Notre chômeur s’appelle Raison, comme Notre Seigneur se faisait appeler Jésus-Christ, mais n’y voyez pas une parenté : l’un survit médiocrement comme un nomade sédentarisé, l’autre prêchait brillamment la bonne parole dans le désert de Judée. Le second cité, une fois devenu Dieu, a inspiré les évangélistes, le premier nommé a relaté son aventure. Il ne l’a pas fait à la manière de Matthieu, Marc, Luc ou Jean, mais à la façon d’un franc-tireur, et c’est ce qui pourrait le sauver de la multitude des écrivains d’aujourd’hui. Mais, va savoir ! Les temps sont si durs que la littérature périclite au Ritz comme dans les bas-fonds. Il n’y a d’avenir nulle part, pas plus dans les divins écrits d’un Raison que dans les sacro-saints romans-feuilletons des apôtres.

Patience, encore. Si j’ai pris la peine et le temps (beaucoup de temps !) d’écrire ce long préambule, c’est que je ne me moque pas de vous. Je ne suis pas un « vulgaire » publicitaire ou un politicien de bas étage, forcément bas de plafond (plus crétin qu’un conscrit en goguette). Je ne suis pas non plus un de ces bâtards de la com’ (commu-nique-les-gogos) qui ont constamment l’arrière-train entre deux rails, jusqu’à s’abîmer la glissière, et qui, de surcroît, vous feraient prendre des merguez pour des chipolatas.
Bref, il était une fois un jeune homme plein de promesses qui, à force de s’illusionner, s’est retrouvé le bec dans l’eau et la raie entre les fesses. Ben quoi ! Qu’est-ce que j’ai dit ? Vous m’avez mal compris, je donnais dans la métaphore pour vous sortir de votre léthargie. C’est malin de s’endormir en plein article quand j’en suis (enfin) rendu à vous déballer le paquet-cadeau.
Un paquet-cadeau en forme de livre avec, écrit dessus, QUAND J'ÉTAIS CHÔMEUR, et plein de bonnes choses à l’intérieur :

1) La couverture de l’ouvrage :

2) La quatrième de couverture de l’ouvrage :

3) Quelques bonnes informations sur le cadeau :
Format : 12 x 19 cm
Pagination : 162 pages
ISBN : 978-2-312-03477-5
Publié en juillet 2015 par Les éditions du Net
Prix de vente public de la version papier : 12 € TTC
Prix de vente public de la version PDF et Epub : 8 € TTC

4) Et des liens, pas pour envelopper le cadeau, POUR LE COMMANDER :
Auprès de l’éditeur : www.leseditionsdunet.com
Sur les sites Internet : Amazon.frChapitre.comFnac.com, etc.
Auprès de votre libraire habituel…

5) Pour les plus radins, les plus fainéants… ou les plus affamés, une adresse qui vous donnera un aperçu du contenu du livre :
http://www.leseditionsdunet.com/temoignages/3532-quand-j-etais-chomeur-raison-jean-pierre-9782312034775.html
N’oubliez pas d’aller en bas de la page, pour cliquer sur le rectangle APERÇU relié à une liseuse, qui vous permettra de lire gratuitement (encore !) les treize premières pages du livre.

6) Et si ma page auteur sur Amazon.fr vous tente, alors rendez-vous illico presto ici :
http://www.amazon.fr/Quand-jétais-chômeur-Jean-Pierre-Raison/dp/2312034778/ref=sr_1_2?ie=UTF8&qid=1439384638&sr=8-2&keywords=quand+j%27étais+chômeur

— Qu’est-ce qu’on dit après ça ? Merci qui ? 
 Merci Jean-Pierre.
Et Jean-Pierre de répondre :
— Mais c’est moi, bienveillants lecteurs, qui vous remercie d’avoir lu cet article jusqu’à la fin, et de vous apprêter à commettre une bonne action en achetant (dans le format que vous souhaitez) le livre de cet infortuné Raison.

Voilà, faites comme bon vous semble, allez sur le site de votre choix, mais si vous voulez entendre « siffler le train du succès éditorial avec mon futur best-seller dont vous avez aujourd’hui la primeur », c’est le moment ou jamais d’actionner la manette…


À BIENTÔT LES AMIS !
Votre Jean-Pierre Raison

lundi 13 juillet 2015

Houellebecq et Raison, les deux pourraient faire la paire, mais la paire de quoi ?

Je n’ai pas pour habitude de parler de moi dans ce blog (pourquoi vous riez ?), et encore moins dagrémenter mes propos de photos très personnelles.
Eh bien, nous allons déroger à la règle !

Houellebecq et Raison, 
les deux pourraient faire la paire, mais la paire de quoi ?

Sucé-sur-Erdre, en Loire-Atlantique. Dimanche 28 juin 2015.

Ça sest donc passé un dimanche au bord de l’Erdre, « la plus belle rivière du royaume » selon François Ier et Madame de Sévigné. Il faisait beau, et plutôt chaud, avec un bon petit vent rafraîchissant. Une brise qui sempara de ma chevelure assez peu luxuriante, et ramena mes longues mèches « blond cendré » — qualificatif plus chic que le plouc « grisonnant », il faut bien assumer son statut de star, n'est-ce pas ? — plus sur le devant, au moment même où ma compagne me tirait le portrait. Visionnant le résultat sur lécran de son smartphone, elle fit cette appréciation : « Tu ressembles à Houellebecq. » Une appréciation froide, ni admirative ni déplorable, que j’interprétai de manière positive.
Trente secondes avant, javais les cheveux ébouriffés (mais pas bouclés, hélas !) de Chateaubriand, sur ce fameux tableau dAnne-Louis Girodet (ci-dessous), et, on l’imagine aisément, je nétais pas plus beau pour autant.

Chateaubriand méditant sur les ruines de Rome.
À vous de juger sur pièces, amis lecteurs, et de me dire comment vous voyez les choses. Selon vous, ma chère compagne devrait-elle changer de lunettes… ou simplement de monture ? 

Michel Houellebecq
à l’âge de 55 ans (en 2011).
Jean-Pierre Raison 
à l’âge de 69 ans (en juin 2015).


Et ne croyez pas que jaie choisi la plus moche des photos de Michel, 
sinon jaurais pu retenir celle-ci : 


Elle mavait donc dit quil y avait quelque chose de Houellebecq en moi, quand jaurais préféré qu’elle meût trouvé un petit air du Tennessee de la chanson de Johnny, Tennessee Williams, of course [l’auteur d’« Un tramway nommé désir » et de « La chatte sur un toit brûlant (qué calor, alors !)], encore que ses moustaches, à TW, ne valent pas celles de Clark Gable, son sourire non plus.
Bref, cet amalgame entre Houellebecq et Tennessee m’enflamma lesprit et mexpédia illico aux États-Unis.
Dans quel état suis-je donc pour que ma compagne me Houellebecquise ainsi, telle fut la question qui me tarabusta, et pour moi ce fut matière à délirer, voire à me surpasser en cogitant ce qui suit (réservé au bac + 17 et interdit aux moins de 10 ans) : 
Physiquement, je ne suis peut-être pas en parfait état, mais dans quel état serais-je si, par je ne sais quelle catastrophe, mon prochain livre ne devait pas paraître ? Plus près de Houellebecq à picrate que de Gainsbar à cocktails ? Proche de l’Ohio ou  du Con… necticut et du Missouri… jaune ? Si mon éditeur est victime des effets collatéraux de la crise de l’euro suite à nos héros de la tragédie grecque, serai-je une âme en Penn… sylvanie, avec une drôle de Minne… sota, en train d’implorer Dieu ou Ala… bama. En quête d’un toit et cherchant refuge tantôt auprès de ma Caroline du Nord, tantôt auprès de ma Caroline du Sud. À moins que je ne me tourne vers mes amis Mary… Land et Louis…Iane, qui m’ont perdu de vue. N’empêche que je ne serai plus très beau à voir ! Moi, le colosse de Rhode Island, j’aurai le Nebraska (nez braqué) sur mes godasses, et le moral dans les socquettes en plein Massachusetts.
Alors oui, si les choses tournent vraiment si mal pour moi, je serai conduit à prendre la direction du Sud. J’irai là où mon destin m’attend, me noyer dans le Mississippi, en songeant à ma Lillinois chérie et à Georgie le fis maudit, tout en chantant comme Charles du… Montana, la ballade des gars du Texas perdus en plein Colorado. Du coup, il y aura sûrement en moi, l’itinérant, quelque chose d’inhérent au Tennessee, mais je serai en fait comme un Indien dans l’Indiana, un peigne-cul en chemise Lacoste à Hawaï et en jean Levi’s dans le New Jersey, ou encore comme cet hurluberlu de Berlusconi… se cognant la tête contre les murs du pénitencier de l’Arizona.
Et puis viendra le moment de dire A…Maine, à moins que croisant le Messie déguisé en anachorète au fin fond de l’Utah, du Wyoming ou de lOregon, ou bien l’inénarrable « J.-C. » VanDamme expliquant sa théorie sur l’« aware  » à des péquenots du Delaware, j’en revienne à l’état primitif, à cet état de nature dont je n’aurais jamais dû sortir. Alors là, oui, il sera temps pour moi d’échanger ma tête de neuneu contre une binette à la Houellebecq, de changer de nom et d’identité, par exemple d’américaniser mon patronyme, d’entrer dans la peau de John-Peter Reason en me gardant, quand même, de ne pas sombrer dans la folie du serial criminal Charles Manson, l’homme qui tua Sharon Tate, l’épouse de Roman Polanski. Une sublime Sharon Tate (voir ci-dessous, le magazine Peopleà ne pas confondre avec la non moins divine Sharon Stone of the States.
Sharon Tate en couverture
du magazine américain People de septembre 2014

Bon, cest promis, jarrête les psychostimulants, dès demain je consulte un neuro(psy) à deux balles (économie de Sécu oblige), parce que je ne peux pas continuer à dérailler à toute berzingue sous prétexte que jentends siffler le train du succès éditorial avec mon futur best-seller dont vous aurez bientôt la primeur.

samedi 27 juin 2015

INFO non démentie par la NSA ! Le cap des 10 000 consultations allègrement franchi. Bravo et merci, les amis.

Avant de reprendre ce blog interrompu pour des raisons indépendantes de ma volonté, comme disaient naguère les télés lors d’une rupture de faisceau [Pour ma part, on aurait pu craindre une rupture de vaisseau, voire un AVC, mais non, cest pire, la bête est agressée de tous les côtés, mais elle résiste.], permettez-moi de vous remercier pour votre fidélité. Mine de rien, nous avons allègrement franchi le cap des 10 000 consultations, et ce nest qu’un début, le combat continue.
Surtout, une bonne nouvelle se profile à lhorizon. Comme je ne vois pas plus loin que le bout de mon nez (ben oui ! la cataracte a fait son apparition, ça part en vrille de partout, vous dis-je !), lhorizon pour moi, c’est tout près, au plus tard en juillet. Car, en juillet, va paraître aux Éditions du Net, mon nouveau livre intitulé… Minute papillon ! Le titre est encore secret, on ne se méfie jamais assez des chacals germanopratins — les caïds du milieu littéraire — qui tournicotent dans le quartier latin comme des hyènes en chaleur alléchées par lodeur dun beau morceau de barbaque à bidocher tout cru, sauf qu’ils l’auront dans le fion, pas vrai Gaston ! 
Bidocher, souvenez-vous élèves de 7 à 77 ans, c’est aussi tricher en classe ou dans l’amphi, copier sur son voisin, avec ou sans son consentement. Je connais des bac + 4 qui ont obtenu leur diplôme — en l’occurrence leur peau d’âne — sans même mettre les pieds à la fac, sinon le jour des examens. 
Sur moi, sur la bidoche, et sur les vauriens qui sy vautraient, voici ce que jen dis dans mon ouvrage intitulé Lécriture est une drogue dure :
« Grand Dieu ! Pour donner un sens à ma folle existence d’écrivain dépravé, je n’en suis pas rendu à pratiquer le faux en écriture. Ce que j’écris est bien de moi et bien à moi. Je suis trop orgueilleux et fier de mes trouvailles stylistiques pour céder au plagiat. Au diable le mépris, le discrédit, la déconsidération, plutôt crever ! Un petit emprunt à Wikipédia, pourquoi pas, mais pomper, tel un Shadok, dans les œuvres d’autrui, jamais. Au cours de mes études, j’ai échoué à des examens et à des concours par refus de m’inspirer des travaux du voisin, allant jusqu’à repousser les feuillets qu’un démon glissait sous mon nez. Tant pis pour la déjà moyenne réputation de l’Université, je connais des étudiants qui ne venaient à la Faculté que pour tricher et rendre une copie copiée. Ces bandits se sont payé leurs diplômes (deug, licence et maîtrise) grâce à l’inspiration et à la transpiration de quelques amis bons élèves. Ils ont inventé, sans le savoir, ce fameux « copier-coller » qui aujourd’hui fait d’un ignare un érudit. On prétend que le niveau de l’enseignement va en baissant. Cherchez pas d’où ça vient, c’est la faute à tous ces faussaires, ces faux-nez, ces faux-culs, qui sont sans foi ni loi, détournant à leur profit les connaissances des autres (voire leurs petites copines !). À ce jour, et ce n’est pas près de s’arrêter, j’ai écrit tout ce que j’ai publié, sans faire appel à un grand auteur, ni même à une petite main. Oui, tout ce que j’écris est de mon cru, et je vous prie de me croire. »
Extrait de L’écriture est une drogue dure, Les Éditions du Net, 2013, 12 €.  http://www.leseditionsdunet.com/autobiographie/1606-l-ecriture-est-une-drogue-dure-jean-pierre-raison-9782312014883.html & http://www.amazon.fr/Lécriture-est-une-drogue-dure/dp/2312014882/ref=sr_1_fkmr0_1?s=books&ie=UTF8&qid=1435228598&sr=1-1-fkmr0&keywords=l%27écriture+est+une+drogue+dure+version+brochée
— Et ça parlera de quoi dans ce livre à paraître dès juillet 2015 ? D’un problème secondaire, accessoire, négligeable. 
— Ah bon ! Des interceptions de la NSA ?
— Exactement, de Notre Société Amère… ricanisée.
— C’est une blague ?
— Évidemment, car la société française est unique au monde, c’est une éponge qui absorbe tout, et quand on la presse l’éponge, vous savez ce qu’il en sort : 3 550 000 chômeurs en catégorie A (demandeurs d’emploi sans aucune activité au cours du mois), mais 5 500 000 demandeurs d’emploi en catégories  A, B et C (des personnes n’ayant pas du tout travaillé ou avec une activité réduite dans le mois), dont 2 400 000 chômeurs de longue durée (plus de 43 %). Parmi ceux-ci, 700 000 chômeurs de très longue durée, sans activité depuis plus de trois ans. [À une louche près, mes chiffres sont exacts, ou alors l'INSEE nous entube.]

Ah ! C’est moins drôle que la galéjade des écoutes hollandaises, d’où la nécessité de s’en amuser pour mieux s’en désoler.

Eh bien voilà, mes bons amis ! Le sujet du livre, ce sera ça : le témoignage du chômeur de très longue durée Jean-Pierre Raison. Flash-back sur les années 80. Pas sur les années disco, sur mes années de plomb. « Plombé par le chômage », ç’aurait pu faire un bon titre, mais j’en ai retenu un autre, plus chantant, donc plus pervers. Autant dire que ce sera cash, raide et brutal ! Ça va flinguer à tous les étages… à moins que cela fasse pleurer Margot, parce que le propos n’est pas si rigolo, même traité au second degré.
Patience ! Je vais vous la faire revivre cette période duraille avec un chômage sacrément durable, pas moins d’un lustre (5 ans, et non pas un lampadaire !), disons un quinquennat… et même un septennat si l’on y inclut les formations en tous genres : stage d’initiation, cycle de perfectionnement, module d’adaptation et remise à niveau, qui débouchent rarement sur grand-chose, sinon sur une réinsertion bidon ou une reconversion merdique.

Bon ! J’en garde sous la pédale, sans quoi vous allez me prendre pour un vantard, moi qui ne suis qu’un pauvre paysan timide et sans relief, bien qu’ayant beaucoup traîné mes pataugas dans les terres vallonnées du haut bocage de la Vendée.


Votre fidèle ami.


samedi 9 mai 2015

« ERRARE HUMANUM EST », comme dirait Najat, notre latiniste nationale

En bon français, « L’erreur est humaine »

Dans mon article du 6 mai, je vous ai fourni un lien quelque peu confidentiel puisqu’il vous permettait (je viens de m’en apercevoir et je m’empresse de faire la correction qui s’impose) d’entrer dans les entrailles de mon blog. 
À la place de ce précédent lien, désormais supprimé, qui vous donnait accès directement à l’article intitulé « UNE BONNE GUERRE MONDIALE » ou « UN BON DICTATEUR FRANÇAIS », je vous invite à activer ce nouveau lien :
qui vous mènera au même endroit.

À dire vrai, en vous proposant ce nouveau chemin, et en faisant la manœuvre pour vérifier, je ne vois plus très bien ce que cela change, puisque l’on arrive quasiment au même résultat. Le lien d’avant était, me semble-t-il, plus intrusif, et moins commode à lire.
Bref, mon manque de professionnalisme est tel, qu’il faut vous attendre à ce que je vous balance un de ces jours, une copie du relevé bancaire de l’un de mes nombreux comptes planqués dans de multiples paradis fiscaux. Évidemment, vous ne direz rien à Mediapart, cette usine à dénonciations qui n’est pas près de faire faillite. Au fait, est-ce que Plenel a bien payé la TVA qu’il doit au fisc ?
Au cas où vous ne seriez pas au courant, en bon délateur, je vous branche sur l’affaire en question :

À bientôt.

mercredi 6 mai 2015

Bientôt L’ÉTAT D’URGENCE ! Après l’anti-racisme, l’anti-sémitisme, l’anti-islamisme, etc., voilà l’anti-front nationalisme

L’État, le Pouvoir, la Justice, l’Establishment, etc., tout le « Système » passe à l’attaque pour persécuter ce parti « anti-républicain » et « anti-démocratique » qui s’appellerait le Front National.
Je vous renvoie à mon post du 5 janvier 2015, intitulé :
« UNE BONNE GUERRE MONDIALE » ou « UN BON DICTATEUR FRANÇAIS » ?
http://ecrivaindenantes.blogspot.fr/2015/01/une-bonne-guerre-mondiale-ou-un-bon_5.html
Comme toujours, mon sixième sens va me donner raison, car nous en prenons le chemin… de la « dictature à la française ».

Non, je ne suis pas en train de vous écrire un article sur le sujet (
je n’ai pas les moyens de me payer une garde à vue), je suis en train d’imaginer ce que pourrait être l’un des sujets du Bac 2015. Vu le niveau de nos chers élèves des classes terminales, je le proposerais plutôt aux candidats à l’entrée de Sciences Po.


C’est tout ce que je voulais vous dire. 

Maintenant, j’arrête mon petit aboiement, je rentre sagement dans ma niche, et j’attends que la caravane passe, ce qui ne saurait tarder.

Signé : Un Rintintin mâtiné de Milou qui, après s’être dressé sur ses papattes, s’empresse de s’aplatir devant son maître, la liberté d’expression, et surtout devant Dieu le Père Tout-Puissant qui n’aime pas les mal-disants, fussent-ils catholiques bon teint, hélas ! pas assez pratiquants.

jeudi 30 avril 2015

ADIEU PATRICK BESSON, ON T’AIMAIT BIEN, TU SAIS !

La nécro acerbe d’un Russo-Croate nommé Patrick Besson 
ou 
l’hommage funèbre de l’écrivain vendéen de Nantes, Jean-Pierre Raison

Cela s’est passé il y a un mois, dans la nuit du dimanche 29 au lundi 30 mars 2015. J’avais eu un mal fou à m’endormir, tourmenté que j’étais par un manuscrit que Dominique Gaultier, le directeur des éditions Le Dilettante, m’avait refusé… en 2010. Gaultier était allé jusqu’à m’écrire : « Ce n’est pas l’écrivain qui me déplaît chez vous, ce serait plutôt l’homme. » Gonflé, le Gaultier (un patronyme à la mode, mais un homme pas commode) ! Paraît qu’il est comme ça, pète-sec et tralala. Tout ça pour un manuscrit intitulé « Patrick BESSON (1991 — 2009) », inspiré par Besson lui-même, qui était ni plus ni moins qu’un échange de lettres, dont 90 % de mon cru. Chacun le sait, ce Besson-là, pourtant lettré, n’est pas courriériste (carriériste ? Ça se discute). Il s’aime trop pour échanger avec autrui, et il préfère jouer les pistoleros que les épistoliers, son domaine de prédilection étant le roman et la chronique… où il fait la nique à tout le monde.
Bref, ça parlait de Patrick Besson, et ce que j’en disais moi-même n’était pas folichon. Quand, tout à coup, Giesbert (le FOG du Point) a ouvert la porte de la pièce où nous causions, en hurlant : « PB est mort. » Dans la seconde, « Pébé » n’a fait tilt dans l’esprit de personne, mais quand FOG a précisé « le grand Patrick, merde ! », là on a tous été sciés, moi le premier. On aurait pu croire FOG meurtri, pas du tout. Son problème était la nécrologie du macchabée (insuffisance rénale suite à une violente crise de goutte mal gérée : kaput !). Et pof ! Il me désigne du doigt, en disant : « C’est pour toi, Jean-Pierre, ça lui fera plaisir. » En effet, il a dû se bidonner sur son plumard, faute de se retourner dans sa bière, tandis que j’ai failli m’étrangler. Contester FOG, c’était pas pensable, j’ai obtempéré, sans dire « Bien, mon adjudant ! », parce que j’aurais pris la porte, sans emporter la clé (et que fait-on quand une porte ne s’ouvre pas ? On la ferme et on se casse !). Et avec FOG, aux chiottes la clause de conscience, t’obéis ou tu t’inclines. J’ai fait les deux, et je me suis mis à l’ouvrage.
Dans le fin fond de moi, j’étais pas inquiet, j’avais un filon en or : Angelina Rinaldo, la spécialiste des enterrements de VIP (Very important person). Quand même, pas une minute pour me recueillir et pleurer un petit coup, j’avais les boules dans le creux de la gorge, et du mal à avaler cette sidérante nouvelle, au point de ne pas y croire. Mais si le dirlo du Point en était certain, cela devait être vrai.
Cependant, en appelant PB sur son portable (0654321ZERO) pour vérifier qu’il était vraiment mort, je n’ai pas été du tout rassuré : son répondeur sonnait inoccupé… comme d’habitude. Tant pis, avec le concours d’Angelina, j’ai fait mon devoir et concocté une nécro la plus objective qui soit, celle que voilà : 
« C’était un écrivain prometteur. À ses débuts, précoces, il a vendu pas mal de livres, touché un certain nombre d’à-valoir et vite séduit quelques académiciens français qui lui ont permis d’obtenir plusieurs prix littéraires. Mais l’un de ses titres de gloire est sans doute d’avoir fait partie de la bande à Déon (Michel, de son prénom), lui-même ayant appartenu à ces fameux « Hussards », des écrivains étiquetés à droite (Nimier, Laurent, Blondin, pour ne citer que les principaux) qui, dans les années 50-60, sortirent la littérature de sa léthargie en s’opposant notamment aux intellectuels de gauche ralliés à Sartre. Patrick Besson, ainsi que des auteurs comme Neuhoff et Tillinac, ont eux-mêmes été qualifiés de néo-Hussards, un peu abusivement 
Après un parcours littéraire remarqué où il eut maintes fois l’occasion de goûter à la célébration, notre ami l’écrivain Besson, en manque de lecteurs enthousiastes, découvrit assez vite les affres de l’anonymat. Il aurait glissé lentement vers l’oubli si sa plume, au demeurant alerte, n’avait pas retenu l’attention de certains rédacteurs en chef, de toutes obédiences, qui firent de lui un chroniqueur (une fonction qu’il exerça très jeune à France Culture, auprès de Roger Vrigny). Il s’autorisa tellement de fantaisie dans ce rôle d’échotier-critique, où il se montra souvent très insolent, qu’il finit par agacer ses généreux employeurs, qui remercièrent cet incontrôlable pigiste sans le moindre préavis ni aucune inimitié. Et c’est là où, après avoir brillé sous les feux de la rampe, il disparut de plus en plus des écrans radars. Il serait sans doute aujourd’hui SDF ou clodo s’il n’avait tapé dans l’œil frétillant du très influent Franz-Olivier Giesbert, dit FOG, le directeur du newsmagazine Le Point, qui lui offrit un job très nourrissant : maître-queux chroniqueur. Ainsi Besson, fine gueule à ses heures, truffa-t-il ses chroniques de considérations culinaires et de bonnes adresses, au point de devenir un critique gastronomique de l’aune d’un Jean-Vincent Placé, le sénateur écolo, fieffé mangeur de notes de frais. En bon parasite mondain, Besson se plut aussi à encenser les puissants et à dénigrer les méritants, reniant ainsi ses convictions politiques qui le font encore prôner le communisme (t’as du chic, coco !). S’il n’était pas si épais et corpulent, on l’imaginerait aisément en train de faire le grand écart entre la soupe populaire et Drouant. Ah ! Drouant, Dieu sait qu’il y casse régulièrement la graine, en tant que juré du prix Renaudot, tout en gardant une dent contre les membres du Goncourt qui n’ont jamais cru bon de le primer, donc de le rendre riche à millions.

Et les livres dans tout ça ! Il en écrit quasiment plus, mais il recycle ses vieux papiers journalistiques dont certains ont largement dépassé la date de péremption, à tel point qu’il publie des ouvrages périmés. Attendez-vous à voir apparaître bientôt une resucée de ses chroniques du Point. Réchauffées, il paraît qu’elles sont meilleures que fraîches, vous m’en direz des nouvelles. Ah ! Des nouvelles, notre polygraphe en goguette sur la Côte en a troussé plus d’une dans sa chambrette niçoise ! Si elles vous ont échappé, rassurez-vous, moi aussi j’ai glissé sur le papier glacé où elles s’étalaient comme des courtisanes fatiguées de porter leurs misères hautaines. 

Mais voilà que Patrick le Conquérant est mort, que le gerfaut s’est envolé par-delà les airs, et nous voici orphelins. Ayons de la peine pour lui, et laissons-le en paix, car quoi qu’il ait fait, il n’aura jamais démérité. » 
J’allais montrer ma copie à FOG, quand des coups de marteau m’ont réveillé en sursaut. Les ouvriers qui travaillaient à la rénovation du studio jouxtant mon T2 étaient déjà à pied d’œuvre alors que mon réveil marquait 8 heures. Forcément, je me suis levé du pied gauche, et ce fut pour moi une journée de « mouise ». Mais l’essentiel n’était-il pas que notre bienheureux Patrick fût en vie et pût continuer à chroniquer brillamment au Point, où il s’éclate, sans se la péter… encore que !
Pour me faire pardonner d’avoir joué avec sa vie, et de vous avoir, chers lecteurs, induit en erreur le temps d’un « post timbré lettre prioritaire », je vais vous donner un bon conseil. Dans l’immense œuvre littéraire de ce grantécrivain transnational, je vous recommande ce très grand roman : 
« Mais le fleuve tuera l’homme blanc » : http://www.fayard.fr/mais-le-fleuve-tuera-lhomme-blanc-9782213629667
C’est bien simple, pour moi, ce livre est dans la lignée du « Docteur Jivago », ce chef-d’œuvre du poète et romancier russe Boris Leonidovitch Pasternak, lauréat du prix Nobel de littérature en 1958 (prix qu’il refusa pour des raisons que « Pébé » vous expliquera mieux que personne). Du coup, tandis que l’on sanctifie le quasi-nonagénaire Jean Bruno Wladimir François de Paule Lefèvre d’Ormesson, l’aristo surnommé Jean d’O, me vient cette interjection : « Mais qu’attend Antoine Gallimard pour accueillir Patrick Besson dans la Pléiade ! »

Voilà. Je crois que je vais en rester là pour aujourd’hui. Si je me suis fait plaisir avec ce petit morceau de bravoure, c’est qu’après mon opération de la prostate (voir mes articles antérieurs, qui valent tous le détour), les choses tardent à se remettre en place, et ça me fout les glandes. Je ne peux pas en faire toute une montagne, surtout en m’adressant à vous qui compatissez (con t’a pissé !), alors j’en fais tout « incontinent ». Or moi, quand le stress me gagne, l’écriture reste le meilleur moyen d’y échapper. Certes, je vais replonger dès ce post envoyé, mais je trouverai autre chose à écrire, et ainsi de suite jusqu’à… ma disparition, qui n’est pas pour demain, encore que je n’en sache rien, car c’est une chaîne sans fin. En outre, il va être 15 heures, et j’ai sacrément la dalle, comme on dit chez les argonautes (pas les compagnons de Jason, celui qui conquit la Toison, les argonautes contemporains, disons les ergoteurs du Net, qui sont légion).
Et si je me lançais dans une odyssée telle que l’Iliade ? Non, pas recommandé, au moment où le grec et le latin sont dans le collimateur de Madame Najat Vallaud-Belkacem, la ministre féministe de la Rééducation nationale.

Sans rancune, mon gros Patrick (un quintal et des poussières, couché).
Ton petit Jean-Pierre (un mètre soixante-dix-neuf et demi, debout)

P.-S. : Si j’ai laissé traîner quelques fautes à certains tournants, ne m’en veuillez pas, j’écris en conduisant sur une route accidentée, pas un gramme imbibé, mais sous l’empire d’un soleil couchant qui m’aveugle intensément.

samedi 18 avril 2015

LE GRAND ÉCRIVAIN CÉLINE… et moi, pauvre de moi, l’écrivaillon Jean-Pierre Raison

IL Y A DES JOURS OÙ JE ME DIS QUE JE FINIRAI COMME MONSIEUR CÉLINE ! 
Sauf que je ne suis pas Céline, mais un modeste écrivain, et que je n’habite pas une maison sur les hauteurs de Meudon (Hauts-de-Seine) avec à mes côtés « l’amour de ma vie » et des animaux de compagnie, dont un chat.
Pourquoi serais-je Céline (le pseudonyme choisi par Louis-Ferdinand Destouches, et qui correspond au prénom de sa grand-mère maternelle) puisque le prénom de la mère de ma mère est Marguerite ?
Pourquoi finirais-je mes jours dans une maison à Meudon avec ma dulcinée et un matou, quand j’ai toutes les chances de terminer ma vie dans une maison de retraite subventionnée (petite pension oblige), donc sans le sou (et sans le moindre droit d’auteur) ?
C’est-à-dire que je mourrai illustre inconnu et presque dans la misère, avec une petite œuvre qui passera à côté de la postérité, sinon abandonnée dans un recoin de mémoire numérique pour l’éternité (parce qu’Internet me semble bien parti pour disparaître après tout le monde grâce à je ne sais quel abri antiatomique au fin fond de je ne sais quelle galaxie).
Croyez-vous que pareille perspective soit de nature à me couper l’envie d’écrire ? Diable non ! Au contraire, j’ai acquis cette conviction que je suis porteur d’un chef d’œuvre (ou de plusieurs grands livres), et que le moment venu, il sortira de mes tripes. Déjà, vous sentez bien que ce blog annonce le meilleur, même si je me fais le plus souvent le porte-parole du pire.
Oui, plus le temps va passer, plus je vais me radicaliser. Progressivement, je vais entrer dans le dur, pour me rapprocher du périlleux, de l’infranchissable, de l’inéluctable. Quitte à risquer le tout pour le tout, je vais m’évertuer à « jerker sur le fil du rasoir ». Borderline, alors ? Non, tout schuss sur la crête, plein pot sur le verglas, à fond de train sur la voie sans issue, à moi la mort où je me tue !
Liberté d’expression, comme Charlie et tutti quanti ? Mieux que ça : désinhibition totale en courant les pires dangers, et sans faire de mal à personne (ou alors indépendamment de ma volonté). « Cause toujours, Raison, t’iras pas loin et tu l’auras dans l’os ! » Sans doute les filles, sans doute les mecs, mais il sera toujours temps de pleurer après s’être beaucoup marré.

Hier soir, ce matin, il y a un quart d’heure, je ne savais pas que j’allais écrire cela, et cependant je l’ai fait (en peinant comme pas permis !). Voyez bien que tout est possible, et que ça ne coûte rien de le dire.  
Vous savez quoi pour finir ? Ces lignes ne valent rien, mais rien ne vaut Céline. Qu’y puis-je ? Ça ne m’empêchera pas de dormir, comme ça ne m’empêchera jamais d’écrire. 
Faites le 15 et appelez le SAMU si ça vous chante. Moi, je suis serein, conscient, conséquent avec moi même, je suis ma route et je n’en dévierai jamais… 
Je vous demande juste une petite faveur : n’en dites rien à mes proches, il y a belle lurette qu’ils sont au courant. Ma mère n’a jamais cessé de me répéter : « Toi, t’es pas comme les autres ! » Ça l’affligeait et ça m’étonnait de la voir dépitée. Bon, c’était des mots sincères, sans gravité excessive, qui m’attristaient cependant, car venant de « ma chère et tendre maman ». Quand, un beau jour, elle est allée jusqu’à lâcher cette apostrophe : « T’es moitié fou ! », cela aurait pu finir par m’inquiéter, sauf que « mon franc et malicieux père » (auquel je ressemble, dit-on) qui passait dans les parages au même moment, ne put résister à l’envie de lâcher cette interjection : « Moitié ! » Je ne les ai jamais autant aimés depuis, même si je les ai aimés encore davantage quand en d’autres circonstances (un chômage qui persévère et une folie d’écrire qui s’aggrave), ma mère a eu le cran de m’avouer, à voix douce, combien je les désolais, à travers cette simple phrase : « Si c’était pas toi, on serait heureux ! » J’ai beau être dur au mal que peuvent faire les mots, vu que je ne me prive pas toujours d’en user et d’abuser de leur pouvoir dévastateur, j’ai si bien encaissé le coup que je m’en souviendrai à vie, y compris aujourd’hui où mes parents sont à jamais disparus. Comme Sisyphe, cette pierre qui roule en moi et me retombe dessus indéfiniment, me damne, et me condamne à les aimer aveuglément, mais je me dis en même temps ceci : « Si je n’avais pas su cela, vous ne pouvez pas vous imaginer comme je serais malheureux ! »

À plus joyeux, encore que la joie ne soit rien comparée au bonheur…